La Semaine du Minervois

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Belle prise pêchée dans le canal

27 juin 2018 By Redaction

Le silure pêché dans le canal au niveau du pont de Ventenac

Depuis le pont enjambant le canal du Midi, une scène de pêche a attiré l’attention. Un silure d’une trentaine de kilos a été extrait de l’eau. "Une belle bête !" Après cette épreuve, le pêcheur l’a remis à l’eau. Pourtant le silure, poisson carnassier, a mauvaise réputation dans l’imaginaire collectif. La présence d’un poisson du genre Silurus en France date de 5 millions d’années. Les dernières glaciations ont diminué le nombre d’espèces vivant dans les rivières et la présence du silure s’est réduite au sud-est de l’Europe, notamment dans le bassin du Danube. Les différents bassins français ont été colonisés à partir des années 1970, en commençant par le Rhône, puis la Loire (1975), la Seine (années 1980), le Tarn (1983), la Dordogne (1987) et la Garonne (1989). Il résiste bien au manque d’oxygène et affectionne les eaux chaudes des fleuves.

Considéré comme étant susceptible de provoquer des déséquilibres, un projet de loi devait le classer nuisible en 2017. Cette loi n’a pas abouti car le silure n’est pas considéré comme un prédateur exceptionnel. De plus, la pêche au silure est une pêche sportive dont les trophées sont répertoriés notamment lors de concours de pêche au silure. Le pêcheur a plaisir à sortir le plus gros et le plus long poisson. Il le relâche ensuite espérant le repêcher une nouvelle fois mais plus long et plus gros encore. Le silure est non comestible car il absorbe des métaux lourds nuisibles pour l’homme.

Classé sous :Actualités

Fête de fin d’année du collège d’Olonzac

27 juin 2018 By Redaction

Classé sous :Image à la une

La Une de notre édition du 28 juin 2018

27 juin 2018 By Redaction

A la Une, bilan des pluies historiques du printemps 2018

Classé sous :La Une de cette semaine Balisé avec :AOC Minervois, Biautop, Jean-Pierre Montaron, La Tempora, mildiou, Prélèvement à la source, Quintana, Record de pluie, Serge Griggio, Vox Populis

INTEMPÉRIES

27 juin 2018 By Redaction

Le climat du printemps 2018 aura été dans toutes bouches des Minervois. Après trois années consécutives de sécheresse, la pluie s'est invitée de façon régulière faisant en premier lieu le bonheur des agriculteurs. Oui mais voilà, l'état dépressionnaire qui a plané au dessus des têtes des habitants du sud s'est prolongé longuement. Avec la montée des températures, l'humidité ambiante a été le terrain favorable au développement des maladies comme le mildiou et maintenant l'oïdium. Pour ne rien arranger, les rangs des vignes étaient impraticables et n'ont pas laissé la possibilité de traiter. Pour les vignerons qui essuient chaque année une calamité (gel tardif, grêle et maintenant mildiou), cela commence à faire beaucoup. Si tous ne sont pas concernés, nombreux sont ceux à avoir été impactés chaque année. Le désarroi se lit sur certains visages et les paroles deviennent fatalistes car s'il y a bien une chose sur laquelle le viticulteur ne peut rien, c'est le temps. Les années successives de sécheresse puis de pluie peuvent ne rien avoir d'exceptionnel pour le climat méditerranéen, mais on sent que la question du dérèglement climatique commence à interroger, même les plus sceptiques. Si le Languedoc a été marqué par les intempéries, il en va de même dans le Bordelais où des milliers d'hectares ont été touchés par la grêle quand le nord a connu de la Bretagne à l'Ile de France des inondations. Y faut-il voir la conséquence du réchauffement climatique ? Dans un article du monde du 4 juin le climatologue Hervé Le Treut disait “qu'il n’est pas impossible qu’il existe un rapport entre le réchauffement climatique provoqué par l’humain et la fréquence des orages, mais les tendances ne sont pas encore bien claires”. Prudence donc sur les causes. Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), de son côté, affirme par contre que l'intensité des pluies est en étroite relation avec le réchauffement : “la quantité d’eau disponible à la condensation est supérieure, et le cycle de l’eau est accéléré. Les pluies extrêmes sont donc favorisées”. En attendant le soleil est présent, propice au tourisme.
Nicolas Faure

Classé sous :Edito Balisé avec :AOC Minervois, Hervé Le Treut, mildiou, minervois, Nicolas Faure, sécheresse

Les Astropies rêvées

22 juin 2018 By Redaction

Les Astropies, premier festival du genre s'installe à Olonzac (34), fin juillet. Plus qu'une vague de jazz, il est une proposition à vivre autrement. Le Minervois joue le renouveau musical et culturel en bon partenariat avec le musicien Brice Soniano et, à l'organisation, Perrine Ournac, enfants du pays et équipe de choc d'Ouveillan. Rendez-vous avec les étoiles...

C'est au parc d'Olonzac que le collectif Astropi posera ses rêves fin juillet pour trois jours de rencontres entre des musiciens de haut vol et les publics. Ce festival, à l'affiche colorée et créative, semble être né d'un alignement de planètes. Brice Soniano, contrebassiste de son état, a grandi à Ouveillan. Il est parti il y a vingt ans expérimenter le monde. Mais Brice rêve depuis longtemps de redescendre jouer dans son Sud et particulièrement dans certains coins du Minervois dont il apprécie l'énergie et ses sites pittoresques. Il crée avec d'autres artistes européens le collectif Astropi. Un mouvement artistique mû par l'idée de s'affranchir des limites stylistiques imposées par le mode de consommation courant. Astropi les rassemble autour d'une philosophie de création, de production mais c'est aussi un label. Pour créer des liens entre les artistes et le public, ils ont en projet la volonté d'organiser des événementiels. A quelques milliers de kilomètres, le Minervois vibre, encore et toujours en quête de sens. La mairie d'Olonzac, après moultes atermoiements sur certains projets, est poussée par un maire désireux de changer le paysage culturel de sa commune. "Nous voulions relancer le festival de musique que l'on avait fait vivre à l'époque" explique Gérard Marcouïre. Pour cela il s'adresse à des personnes qui savent faire, la famille Ournac à Ouveillan, acteurs culturels, créateurs de nombreux événements (L'Enquant) et pièces théâtrales. Perrine Ournac est en contact avec Brice Soniano. Bingo, le Minervois s'ouvre pour ce dernier avec un partenariat tripartite à la clé. Au point convergent des envies, Olonzac et ses alentours seront la scène du premier festival d'Astropi, et une association Astropies est créée à Ouveillan pour l'occasion. Dès lors, la fusée astropique met les feux. Sans étonnement, l'affiche dévoilée, il y a à peine un mois, place la barre assez haut pour imaginer une semaine dense en envolées musicales, en expériences, et en rencontres entre un territoire et des mondes.

Basé sur l'échange Le festival posera ses valises au parc d'Olonzac mais rayonnera dans des sites emblématiques du Minervois. Du 26 au 28 juillet, les journées démarreront (après des séances collectives de méditation) en fin de matinée par des concerts non stop au parc. En parallèle, ateliers, master class, balades sonores, siestes créatives, lunchs concerts, stage de cuisine proposeront autant de formes différentes pour graviter autour de la planète Astropi. Les rendez-vous se prendront sur des lieux comme le pont naturel de Minerve ou la rivière de Bize. "Nous avons pensé un programme en couleur, ouvert à plusieurs communautés différentes : donner par exemple la possibilité à quelqu’un d’ici de venir écouter et apprécier une chanteuse d’une communauté indienne Baul qui, elle, va découvrir tout un monde en rencontrant l’hospitalité des gens du terroir et en se promenant dans les sentiers qui mènent à Minerve" propose Brice Soniano. Le programme s'inscrit dans la ligne éclectique et créative du collectif, et ne compte pas moins d'une vingtaine de formations musicales. Certains noms se détachent déjà comme le flûtiste aérien Magik Malik accompagné de sa dream team, Ben Sluigs salué par la presse pour son "lyrisme sans précédent", Pierre Hily-Blant physicien et astrochimiste qui situe son travail à la naissance des étoiles… Astropi n'est pas que de la musique, mais aussi des plasticiens, graphistes, philosophes... D'ailleurs, leurs rendez-vous rejoignent l'espace, l'histoire ou la géographie. Où l'Inde apparaîtra au dolmen des fées, ou encore l'ensemble Astropi jouera sous une éclipse totale de lune. En passant, le festival Astropies célèbrera, cette année, les cent ans du jazz... Et la rencontre des univers. “Partager l’inspiration, nourrir les différentes communautés qui vivent les unes à côté des autres : créer un espace de rencontre, un espace de partage, un espace d’ouverture, d’expression et de manifestations de beauté, où l’on s’autorise à repenser le monde, la société, c’est tout cela les Astropies d’Olonzac” reprend dans son édito Brice Soniano. Un invitation. L'enjeu aujourd'hui pour la commune et pour les organisateurs est de réussir une première édition pour s'implanter dans ce paysage vierge aujourd'hui de gros festival. “Nous proposons au public des avantages à réserver déjà leurs places dès aujourd'hui sur internet” souhaite communiquer Perrine Ournac à la coordination. Un site web est déjà ouvert. Le monde sera-t-il au rendez-vous ? Il est possible de l'espérer eu égard les envies du moment et la volonté d'un public désireux aujourd'hui de nouveautés, installé ou de passage dans ce pays de cocagne. Comme l'annonce leur communication, la sérendipité sera guide, un joli mot pour dire un résultat heureux et inattendu, fruit du hasard. “Pour mon retour au pays, je ne pouvais pas rêver mieux que d’organiser un festival : moi qui suis parti il y a vingt ans ans en quête d’inspiration, d’idées nouvelles, de silences, d’ouverture à l’inconnu… Je suis très reconnaissant de pouvoir créer de nouvelles routes vers le Minervois afin de ramener certaines fleurs cueillies par-ci par-là et d’avoir l’occasion de partager ces fragrances avec les gens d’ici.” Une éclipse lunaire se prépare pour l'inauguration. 

Catherine Jauffred

Les pré-ventes donnent des droits à des
avantages. Renseignements :
www.astropi.com, tél : 07.68.99.09.05
Facebook : Astropi asso

© DR L'affiche par Stéphane Cattaneo, artiste du collectif

Classé sous :Actualités Balisé avec :atropies, Semaine du Minervois

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