La Semaine du Minervois

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Ces jeunes qui veulent sauver l’environnement

1 août 2022 By Redaction

Depuis de nombreuses années, nous sommes avertis des effets possibles sur notre vie quotidienne du fait du changement climatique. Ces derniers temps, Greta Thunberg, l’activiste suédoise, alors qu’elle était encore adolescente, à réussi à mettre en lumière ces effets auprès de la communauté internationale. Son esprit et sa ferveur ont attiré l’attention des politiciens du monde entier à tel point qu’elle a reçu un diplôme honorifique de l’Université de Mons. Cette jeune femme s’est même moquée des dirigeants mondiaux lors de la conférence Climat4Change à Milan en 2021, où elle a qualifié leurs discours et l’inaction qui a suivi de « Blah, blah, blah ! » … que des mots et pas d’action.

Maintenant que les effets du changements climatiques sont ressentis par nous tous, ces mêmes politiciens s’empressent maintenant de lui montrer leur soutien dans leurs faibles tentatives de gagner en popularité. Ce mois-ci seulement, dans nos propres régions de l’Hérault et de l’Aude, nous avons vu les effets dévastateurs des incendies de forêt décimer des centaines d’hectares de forêts – la ressource même dont nous avons besoin pour contribuer à réduire les changements climatiques. D’énormes incendies ont fait rage en Europe, en Amérique du Nord et dans de nombreuses autres pays du monde : Les inondations ont provoqué des dégâts considérables et, à mesure que les calottes glaciaires commencent à fondre, nos mers deviennent, dans certaines régions, moins facilement navigables tandis que de nouvelles voix s'ouvrent à des endroits avant fermés par la glace. Mais ces effets désastreux sont également ressentis par notre faune et notre flore. Nous devons sûrement tous réaliser que nous avons les ressources et la capacité d’inverser ce changement, mais cela coûtera cher et nécessitera des changements de vie qui seront parfois drastiques pour tous. 

Cependant, l’alternative consistant à ne rien faire finira par détruire toute vie sur terre telle que nous la connaissons. Pourquoi a-t-il fallu attendre qu'une adolescente nous force à réagir ? Alors qu’en tant qu’adultes, nous avons souvent critiqué les jeunes et leurs adoption instantanée des technologies de communication modernes, il semblerait maintenant que des médias tels qu’Instagram et Facebook nous aient peut-être montrer leur pouvoir de faire le bien, malgré les effets autrement négatifs que nous étions tous heureux de souligner. Que faut-il faire ? Les réponses sont toutes devant nous, mais nous devons montrer une volonté de nous y conformer. Nous connaissons tous l’importance de réduire les risques d’incendie et de recycler les montagnes de déchets que nous continuons de produire à un rythme effrénée. Nous savons également que nous devons réduire notre surconsommation déraisonné de ressources que l'on sait très bien limitées. Le vieil adage qui a été mis en évidence dans la récente pandémie de Covid selon lequel « nous ne pouvons pas être en sécurité tant que nous ne sommes pas tous en sécurité » doit être gardé à l’esprit. La première illustration qui vient immédiatement à l’esprit est que si nous devons réduire notre consommation d’énergies fossiles, nous devons en même temps réaliser que de nombreuses nations dépendent de leur production pour survivre et que nous devons être prêts à les dédommager de leur perte ou les aider à transformer leurs industries, peu importe le coût qui sera de toutes façons inférieurs à lui des dégâts causés par la continuation de leur exploitation. 

La jeunesse est notre futur mais aussi et surtout celui de la planète, alors écoutons les peut-être un peu plus. À vrai dire c'est le monde que nous allons leur laisser que nous malmenons de la sorte...

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :écocide, environnement, planète, réchauffement climatique

Rationnement: un retour possible ?

28 juillet 2022 By Redaction

Pendant plusieurs années après la Seconde Guerre mondiale, la plupart des nations ont jugé nécessaire de limiter notre capacité à acheter de la nourriture et d’autres produits. L'objectif était de garantir la disponibilité des articles à tous, quoique dans des quantités très limitées, pour éviter que la richesse et la cupidité naturelle ne deviennent des facteurs déterminants.  La France était l’une des autorités les plus contrôlantes, mais en raison des influences allemandes pendant la guerre, l’administration de ce système était, dans de nombreux cas,  disjointe et comme tous les systèmes de contrôle, était ouvert à la corruption et à l’injustice.

Comme toujours, les plus pauvres de la société ont le plus souffert, bien qu’ils soient ceux-là mêmes que les gouvernements prétendaient protéger. Contrairement à aujourd’hui où la plupart des gens font leurs courses dans les supermarchés, à cette époque, les gens achetaient généralement dans des magasins locaux, chacun proposant des produits distincts. D’une certaine manière, ce processus d'achat et la volonté de contrôler la disponibilité limitée des denrées alimentaires ont rendu extrêmement difficile la méthode de contrôle central par rationnement. Du fait des problèmes logistiques et du sentiment d’injustice qui en a résulté, cela a évidemment laissé des souvenirs forts désagréables auprès de la portion de la population la plus âgée qui se retrouve donc très défavorable à tout rationnement futur. Cependant, en raison d’une combinaison du changement climatique et, plus immédiatement, de la guerre en Ukraine, l’approvisionnement  bouleversé et limité de denrées alimentaires et de combustibles nous a laissés aujourd’hui dans une situation où la possibilité d’une forme de rationnement peut être la seule méthode de contrôle efficace. La seule grande différence aujourd’hui avec les problèmes rencontrés dans les années 40 et 50 est qu’en raison des méthodes de communication modernes, il serait relativement facile pour le gouvernement de réglementer un rationnement sans avoir besoin de mettre en place un contrôle administrative majeur. On a été témoin d’un parfait exemple de ce besoin de contrôle récemment quand on s’est rendu compte qu’il y aurait, à court terme, une offre très limitée d’huile de cuisson. En quelques jours, les magasins ont vu leurs étagères se vider rapidement. La principale raison était un mélange de peur et d’avidité naturelle. Ceux qui le pouvaient, achetaient de grandes quantités d'un produit donné, au-delà de leurs besoins réels.

Encore une fois, c’est là que les plus pauvres de la société souffrent le plus. Certains commerçants voyant cela se produire ont mis en place leur propre forme de rationnement en limitant l’achat à seulement à deux bouteilles d'huile par personne. Pas besoin d’une administration de rationnement complexe, mais simplement d'une publication centralisée dans les médias (au même titre que les campagnes de prévention diffusées durant la crise du COVID), permettrait de mettre en place rapidement un rationnement. Bien que personne ne souhaite bien évidemment de telles restrictions, la nécessité d’économiser le carburant et de nombreux produits alimentaires actuellement bloqués dans la distribution peut malheureusement nécessité une mise en place rapide d’un tel contrôle. Il est trop facile pour les politiciens d’orienter les changements de régime alimentaire et de modes de vie comme un moyen de résoudre les problèmes actuels. Pour beaucoup de gens, ces choix sont soit indisponibles, soit inabordables.

Peut-être, qu'au lieu de lutter contre le changement proposé, devrions-nous demander à nos représentants de mettre en œuvre des méthodes de contrôle différentes et constructives afin d’éviter des difficultés à ceux qui sont les moins fortunés. Les armoires de cuisine remplies de produits inutiles n’aident personne. Rien de tel pour augmenter ses ventes, que de placer un avis sur la porte d’entrée indiquant qu’un certain produit est en rupture de stock. Il suffit ensuite de laisser faire la nature humaine !

Alfred W.

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :39-45, alimentation, distribution, guerre, huile de tournesol, rationnement, Ukraine

L’eau : une denrée précieuse

7 juillet 2022 By Redaction

C'est l'été et nous sommes à nouveau obligés d’accepter que de vivre au cœur de la région du Minervois implique la responsabilité d’aider à préserver l’une des plus grandes richesse de la nature, à savoir l’eau. Personne n’aime se sentir sous la pression des soi-disant « bienfaiteurs » de la société, qui prétendent nous représenter, tout en promouvant souvent leurs propres intérêts. Cependant, on croit qu’il faut maintenant accepter que le changement climatique est une réalité et, comme l’une de ses nombreuses conséquences, nous devons toujours garder à l’esprit les limites de l’approvisionnement en eau dans notre belle région. Peut-être le plus grand développement agricole de notre région doit être attribué à la viticulture et, contrairement à beaucoup de nos figures de proue politiques, nos vignerons semblent être des leaders dans leur acceptation du changement climatique et adaptent continuellement leur utilisation et leur prise de conscience de l’importance de l’eau. Certains critiques ont émis l’opinion que l’industrie doit changer … mais pourquoi?  

Aux abords du Lac de Jouarres © DR

Certes, il faut accepter que la production de vin reste non seulement le principal pourvoyeur d’emplois et la pérennité des traditions et de patrimoine familiaux, mais aussi un attrait toujours croissant dans le développement de nos industries touristiques. Il faut également noter que ces vignerons utilisent normalement de l’eau non potable. Que pouvons-nous faire pour préserver cette ressource si précieuse désormais?   Principalement, on croit que la chose la plus importante est de réduire ses déchets. En aucun cas on ne veut prêcher à ceux qui sont déjà convertis, mais on s’étonne d’apprendre qu’ici, en France, comme dans la plupart des pays développés, nous disposons d’une des meilleures réserves d’eau potable d’Europe. Malheureusement environ 20% de toute cette eau se perd chaque année à cause des fuites de nos systèmes de canalisation, dont la plupart ont au moins soixante ans. On devrait s’arrêter un instant et réaliser ce que cela signifie réellement. Pour 5 litres d’eau que nous puisons à nos robinets, 1 litre d'eau fuit quelque part dans le sous-sol !   Nos dirigeants politiques doivent certainement comprendre que ce gaspillage provient de notre investissement national et que, s’il n’est pas corrigé rapidement, il coûtera à l’avenir des millions d’euros tout en générant un manque de ressource déjà en baisse chronique. Acceptons également que nous aussi, en tant qu’individus, puissions limiter notre gaspillage. 

Cependant, tout n’est pas catastrophique. Nous avons ici dans nos régions l’un des plus beaux exemples de captage et utilisation de l’eau qui nous procure à tous, locaux et touristes, un plaisir sans limite notamment avec la présence du lac de Jouarres à Homps. Issu de l’avant-gardisme d’un citoyen d’Olonzac, ce lac a été créé avec tant de soin et de réflexion qu’il fait l’envie de beaucoup d’ici et d’ailleurs. Des installations de loisirs telles que la baignade (surveillée pendant les mois d’été), la pêche, la navigation de plaisance et la planche à voile sont présents sur place, mais elles sont également accompagnées d’installations de restauration, de toilettes et d’un parking gratuit. Ensembles, ils prouvent ce qui peut être réalisé à partir d’un site aménagé entièrement gratuit construit autour d'une ressource capturée avec une bonne prévoyance politique. Cela illustre également qu’il n’est pas nécessaire que les divisions régionales comme ici avec l’Aude et l’Hérault restreignent le développement lorsqu’elles utilisent l’eau de manière raisonnable, plutôt que de la laisser s’écouler inutilement vers la mer.

Alfred W.

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :Eau, gestion aquifère, Jouarres, rationnement, ressource, viticulture

L’arbre à argent magique

31 mai 2022 By Redaction

Au cours des deux dernières années de la pandémie de Covid, les gouvernements occidentaux ont semblé se disputer pour savoir qui pourrait fournir la plus grande aide financière aux entreprises et aux particuliers. Tous les citoyens s'attendaient cependant à des difficultés financières ultérieures, peut-être en raison d'un rattrapage de la fiscalité sous ses diverses formes. Ce fait, la plupart des gens l’ont accepté comme une réalité et y ont vu probablement le seul moyen de contrer et de réduire la dette massive que tous les pays avaient contractée. Encore une fois, cette solution était présentée comme la seule méthode pour éviter que cette dette et les intérêts subséquents ne s’accumulent simplement et ne soient transmis à nos enfants à une date ultérieure. Tout cela semblait logique, puis le monde a été confronté au déclenchement de la guerre en Ukraine. Soudain, le mot « prudence » parut disparaître de notre vocabulaire. Une fois de plus, nos gouvernements, y compris celui des États-Unis d’Amérique qui avaient eux aussi accumulé des dettes « covidesques » bien au-delà de ce que la plupart des nations pouvaient envisager, ont commencé à se faire concurrence dans leurs déclarations de soutien à l’Ukraine, tant financièrement que sous la forme d'aide militaire, qu'elle soit chère ou sophistiquée. Personne, un instant, ne s’opposerait à ce qu’une telle aide soit accordée à l’Ukraine, mais il y a un certain cynisme dans le fait que cela doive se produire exactement au même moment où des élections importantes se déroulent en France et en Allemagne. Il en va de même pour Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni et Joe Biden président des États-Unis, qui luttaient tous deux pour conserver le soutien populaire dans leurs parlements à la suite d’événements nationaux en leur défaveur. Bien qu’une telle action de soutien à l’Ukraine soit des plus admirables, n’oublions pas nos propres hommes et femmes ordinaires qui, bien qu’ils aient pour la plupart un emploi, luttent actuellement pour subvenir aux besoins de leurs familles en raison de l’inflation et d'une nouvelle concurrence pour de nombreux produits en raison des approvisionnements limités en cette période dus au conflit européen.

Pourquoi a-t-on laissé cet arbre à argent magique dépérir alors que nos propres citoyens sont souvent dans des situations aussi désespérées que de devoir décider s’ils peuvent mettre de la nourriture sur la table ou se chauffer et éclairer leurs maisons? Encore une fois, on retrouve des gens qui n’auraient jamais pu s’imaginer être dans une telle situation, devant recourir, pour un nombre grandissant, à des banques alimentaires caritatives. Il ne faut pas oublier que tout cela se produit alors que nos politiciens prennent ces décisions à partir de leur confortable position, grassement rémunérés, tout en continuant d'avoir toujours plus recours à des fonds de dépenses dépassant parfois eux-mêmes nos salaires moyens. Peut-être est-il temps pour nous de faire pression sur nos politiciens qui dépendent de notre soutien, de fournir un peu d’engrais à cet arbre à argent magique afin qu’il puisse apporter une aide plus locale, surtout jusqu’à ce qu’une certaine forme de stabilité mondiale soit à nouveau établie.

Alfred W.

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :argent magique, covid, fonds d'urgence, guerre, Ukraine

Le cauchemar des services à la clientèle par claviers interposés

23 mai 2022 By Redaction

Au cours des dix dernières années, nous avons assisté à une augmentation massive du nombre d’entreprises qui utilisent des systèmes de Messagerie Téléphonique via Internet pour fournir un moyen de communication plus « facile » avec leurs clients et éviter ainsi de longs appels téléphoniques qui, selon votre abonnement, peuvent s'avérer extrêmement coûteux. L’idée derrière cette innovation permet aux entreprises d’employer quelques travailleurs, souvent bilingues, qui peuvent se trouver n’importe où dans le monde. Ceci, bien sûr, réduit la masse salariale de la structure. Directement depuis votre ordinateur portable ou votre tablette, vous pouvez communiquer avec un représentant de la marque concernée et il vous suffit de taper un court message qui signalera à l’entreprise vos demandes ou problèmes. Cela peut sembler merveilleux, mais ne vous y trompez pas. Ayant utilisé ce type de service à de nombreuses reprises, on cherche encore les nombreux avantages pour le client et on rencontre surtout beaucoup de frustration.

A essayer de demander des tailles de vêtements comparables à des producteurs français ou européens différents, il peut être agaçant d’apprendre que le « conseiller » auquel vous vous adressez est situé en Afrique du Sud ou en Inde et qu'il n’a pas plus d’idée que vous des tailles européennes. Il est d'autant plus frustrant d'apprendre qu’il s’agit d’une entreprise française avec laquelle vous essayer de communiquer. Un exemple récent a été vécu par un couple écossais âgé tentant de faire installer Internet dans leur petite maison de vacances du Minervois. Les annonces se lisent bien, mais après l’installation initiale, un défaut a été constaté. L'installateur n'avait pas pris en compte que le câble de la fibre optique menant de la box Internet à travers un petit trou percé dans le cadre de la fenêtre, était coincé et endommagé chaque fois que le volet était fermé. Pourquoi ce facteur n’a-t-il pas été pris en compte dans une région où presque toutes les fenêtres ont des volets, c’est incroyable. Bien qu’il ait expliqué cela à l’aide du service de messagerie téléphonique, l’employé du service a insisté sur le fait que le boîtier de commande devait être défectueux et a insisté pour le remplacer, en vain. Si quelqu’un avait pu envoyer une photo montrant le problème, l’affaire aurait pu être résolue en quelques minutes.

Cependant, bon nombre de ces entreprises utilisant ce mode de communication, malgré la communication de leurs adresses e-mail. Adresses qu'ils ont complètement abandonnées et dont lesdites entreprises n'utilisent pas et refusent même les fichiers joints qui les accompagnent. En conséquence, cette affaire, qui n’est pas encore complètement résolue, a pris près de trois heures à coups de messages dactylographiés avant qu’une quelconque forme de satisfaction puisse être atteinte. Pour parfaire l’audace, l’entreprise demandait alors que l’on remplisse une évaluation suite à la communication graduant son niveau de satisfaction. Mis à part le texte poli du représentant, le classement méritait presque un statut négatif. Un autre lecteur a connu six rendez-vous non tenus à cause d’une mauvaise interprétation causée par ce système. S’il s’agit d’un exemple de forme de communication avancée, on frémit d'avance en pensant aux difficultés qui s’accumuleront aveuglément pour nos enfants qui supposent que c’est « plus facile » qu’une conversation orale ou une simple lettre.

Alfred W.

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :clavier, échanges écrits, problème, support, support téléphonique

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