La Semaine du Minervois

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Pépieux : Liliane, une bénévole au grand cœur

11 février 2022 By Redaction

Liliane espère qu’une association pourra être créée prochainement… © Meichelus

Âgée de 68 ans, Liliane donne de son temps, bénévolement, depuis qu’elle réside à Pépieux. “J’ai été en difficulté et ça m’a donné envie d’aider les autres ensuite”, confie-t-elle. Liliane fait partie de l’équipe du Secours catholique d’Azillanet, où elle se rend tous les vendredis après-midi. “L’équipe est très sympa. C’est convivial. On a dû fermer pas mal de temps à cause du Covid… On a repris nos activités, mais masqués, bien sûr.” Liliane n’aide pas que les humains. Elle aime les animaux, et se préoccupe activement du sort des chats errants ou libres, c’est-à-dire stérilisés mais sans famille, qui vivent dehors, dans différents quartiers de Pépieux. “Depuis que j’ai un chien, j’aide les chats, explique-t-elle avec un sourire. Eh oui, c’est en promenant mon chien que j’ai découvert tous les petits félins sans toit ni famille… et ils avaient si faim ! J’ai commencé à donner des croquettes, que j’achetais moi-même. Et je continue à en acheter et à nourrir les chats libres ou errants qui n’ont rien à manger. Évidemment, ça ne m’a pas attiré que des amis. Certaines personnes m’en ont voulu et on même jeté les croquettes à la poubelle. Mais aujourd’hui, d’autres résidents du village font comme moi, parce qu’on ne peut pas laisser ces animaux errer, affamés…”

Les enjeux du nourrissage des chats errants

Nourrir des chats errants ou libres est souvent mal considéré et parfois même non recommandé. Cependant, des chats affamés vont toujours chercher à survivre, en s’attaquant par exemple aux contenus de poubelle, ce qui est loin d’être hygiénique. Les capturer pour les mettre en fourrière, quand il y en a une, puis les euthanasier n’est certes pas envisageable, d’autant que la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes a été actée. Aujourd’hui, ne pas nourrir un animal qui n’appartient à personne, et qui manque de soin ou de nourriture, peut s’apparenter à de la maltraitance. La nouvelle législation publiée au Journal officiel du 1 décembre 2021 (loi n°2021-1539 du 30/11/2021) va dans ce sens. En l’absence de fourrière municipale, les communes n’ont souvent d’autres solutions que d’agir pour éviter, autant que possible, la prolifération des chats errants qui deviendront ensuite des chats libres, à moins que, grâce à l’action conjointe bénévoles-association-municipalité, des adoptions soient mises en place. “Je suis allée voir Mme l’adjointe au maire de Pépieux pour lui parler de la situation, explique Liliane. Je crois savoir qu’avec une participation de la Fondation 30 Millions d’Amis, les municipalités peuvent obtenir des bons de stérilisation pour les chats errants. Moi, en nourrissant les chats, j’essaie de les socialiser un peu… avec l’espoir de pouvoir les attraper pour les faire stériliser. Sauf qu’à titre personnel, je n’ai pas le droit d’emmener ces chats chez le vétérinaire. Il faut aussi savoir que de nombreux chats se sont réfugiés non loin du camping, ce qui peut déplaire aux touristes en période estivale. On voudrait amener ces chats, de façon respectueuse, vers un point de nourrissage, et les faire peu à peu stériliser… Et leur offrir, également, un abri, surtout en hiver. Nous sommes nombreux, à Pépieux, à souhaiter que ça se produise ainsi. Je continue à agir tant que je le peux, mais ça dépend de mon énergie et de mes finances…”

Anouk Journo

Appel à la mutualisation associative

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui milite pour que les municipalités se mobilisent et s’engagent, de façon écologique, dans la lutte contre la prolifération féline, souligne qu’un couple de chats non stérilisés peut engendrer plus de 20 000 descendants en 4 ans. “Pour maîtriser les populations de félins, l’euthanasie ou le déplacement des colonies de greffiers est inefficace et d’une grande cruauté. Seule la stérilisation, reconnue par tous les experts mondiaux et en particulier ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), respecte la sensibilité de nos concitoyens envers nos animaux de compagnie.”, précise la Fondation*.

Dans les villages, comme dans les villes, seule une action collective ainsi qu’une mutualisation des moyens permet d’instaurer une meilleure cohabitation avec les petits félins qui, par ailleurs, ont leur utilité écologique face aux rongeurs, nous le savons bien… C’est un cercle vertueux essentiel à mettre en place au plus vite.

*Source: https://www.30millionsdamis.fr/actualites/article/14558-sterilisation-des-chats-errants-les-municipalites-doivent-agir (NDLR)

Une association à créer

En agissant seule, Liliane a permis à quelques chats d’être adoptés. À présent, elle espère que d’autres adeptes de la cause féline se joindront à elle. “Il faudrait enfin créer une association. Je suis bien sûr prête à continuer à agir bénévolement, mais comme je ne sais pas combien de temps je vais encore habiter à Pépieux, je ne souhaite pas assumer de fonction dans un bureau. En revanche, je peux dès maintenant aiguiller ceux et celles qui, comme moi, veulent agir, et je ferai partie de la future association.” Si vous souhaitez prêter main forte, ou si vous connaissez une association volontaire dans le secteur de Pépieux ou des alentours, n’hésitez pas à contacter Liliane au 06.12.06.16.94.

Classé sous :Actualités Balisé avec :association, chats, chats errants, mutualisation associative, stérilisation

Félines : un aurevoir ému et un accueil chaleureux à l’occasion des vœux

11 janvier 2022 By Redaction

Anne Cabrié, Maire de Félines, remercie Catherine Hortala qui part en retraite

Le 16 décembre, au foyer rural de Félines, l’équipe du conseil municipal, les agents communaux ainsi que les enseignantes de l’école du village se sont réunis pour les vœux présentés par Anne Cabrié, maire du village, mais aussi pour saluer et remercier Catherine Hortala qui, pendant plus de vingt ans, a exercé les fonctions de secrétaire générale de mairie, et part maintenant en retraite. Ce fut aussi l’occasion d’accueillir chaleureusement M. Xavier Richou qui s’acquittera des délicates fonctions de secrétaire général de mairie dès le début de l’année 2022.

L’ambiance était conviviale lors des vœux, malgré le port du masque

La convivialité fut au rendez-vous malgré la crise liée au Covid. “Pour la 2e année consécutive, la cérémonie publique des vœux du mois de janvier n’aura pas lieu, en accord avec la motion qui a été prise par l’assemblée du conseil communautaire impulsée par le président du département et le préfet”, a souligné Mme Cabrié. “Pour autant, je n’ai pas souhaité nous priver de la nécessité de nous retrouver pour aborder avec confiance les défis qui nous attendent en 2022. Après dix ans d’investissement massif, notre mission est maintenant d’animer les bâtiments rénovés, et le cœur de village développé autour de l’épicerie... Et cette mission de l’animation de la vie au village n’est pas des moindres, surtout depuis deux ans de crise sanitaire ! Les défis sont importants pour 2022 : maintenir notre école en essayant de faire installer au village des familles avec enfants, se battre contre la fermeture de classe, assurer la survie de l’épicerie indispensable à la commune, pérenniser les marchés du samedi matin…”. Des enjeux essentiels pour Félines, où il fait bon vivre.

Texte et photos Anouk Journo

Classé sous :Actualités Balisé avec :aurevoir, Cabrié, Catherine Hortala, Félines, secrétaire générale de mairie

Deux jeunes Félinois lancent l’opération « Les petits mots de Félines »

29 décembre 2021 By Redaction

Louis et Noé présentent les boîtes des « Petits mots de Félines » Crédits : Meichelus

« On veut faire quelque chose pour le village » expliquent Louis et Noé, deux adolescents vivant à Félines. L’idée surprendra agréablement les villageois qui découvriront, dans un premier temps, des boîtes en plastique particulières déposées devant l’épicerie « Le panier de Julie », la mairie, la garderie de l’école, la bibliothèque, sur un stand lors du marché du samedi… Dans ces boîtes, on pourra prendre une petite enveloppe et du papier – tout est prévu, même le stylo – et écrire, dessiner ou représenter ce que l’on veut sur ce papier. On remettra ensuite l’enveloppe dans la boîte qui deviendra une sorte de coffret empli – on l’espère – de trésors poétiques spontanés. Durant la première semaine de janvier, les enveloppes seront distribuées, au hasard, dans les boîtes aux lettres du village. Chacun pourra alors découvrir un mot gentil, une intention positive…, proposés anonymement. L’idée est que chaque personne, de tout âge, puisse participer sans forcément signer son petit mot.

Les mots, sources de liens poétiques et de gentillesse

Ce projet joliment créatif génère malgré tout quelques appréhensions chez Louis et Noé : « On craint que les gens ne s’impliquent pas, on craint aussi de ne pas retrouver les boîtes, ou qu’aucune enveloppe ne soit ouverte… Et puis on aura peut-être du mal à discuter avec les adultes qu’on ne connaît pas quand on présentera le projet, par exemple au marché » confient-ils. Ils comptent beaucoup sur la bienveillance des Félinois pour soutenir cette idée artistique autour de l’écriture qui crée du lien. On en a besoin… Et peut-être plus que jamais. D’ailleurs, au cours de l’année prochaine, un atelier d’écriture pourrait être organisé à Félines, avec l’association Dixit, pour bâtir des textes collectifs ou individuel à partir des mots recueillis dans les enveloppes. Par exemple lors du Printemps des poètes ? À suivre…

Anouk Journo


Écrire

« J'écris parce que cela me permet de m'exprimer, de slamer.

J'écris parce que cela fait découvrir, 

J'écris parce que je me découvre.

J'écris parce que je reçois et que je partage.

J'écris parce que souvent, je suis obligé sur certains sujets.

J'écris parce que cela fige mes pensées.

J'écris parce que cela pose ce noir où tout s'accélère, alors

J'écris parce que j'écris et alors j'écris, j'écris, j'écris.

J'écris parce aussi finalement, ce noir, ça le colorie.

J'écris parce que parfois, j'aime les gribouillis et que je ris.

J'écris aussi parce que c'est un cri :

J'écris parce que les mots me font tagger, me font liker et me font aimer.

J'écris parce que sur ma planche, je glisse alors qu'en classe je "dys":

J'écris parce que je dysgraphie, 

J'écris parce que je dysorthographie,

J'écris parce que je "dyslex"ine, et que tout le temps, je dessine

J'écris parce qu'à cet instant, il est encore jeudi

J'écris parce que je vous dis,

J'écris parce que, ici, je me dis. »

Texte de Louis Dent-Agniel

Classé sous :Actualités Balisé avec :Félines, littérature, Louis, Noé, poésie

Félines-Minervois : inauguration de la Maison des technologies paysannes d’Occitanie

13 décembre 2021 By Redaction

En septembre dernier, s’installait à Félines une branche de l’Atelier Paysan, coopérative permettant d’apprendre à concevoir ses propres outils adaptés à une agroécologie paysanne. Aujourd’hui, le lieu est opérationnel.

Table ronde lors de l’inauguration officielle de la Maison des technologies paysannes le 27 novembre dernier

“Reprendre la terre aux machines en Occitanie” : tel était le thème de la demi-journée de rencontres et d’échanges autour de la toute nouvelle Maison des technologies paysannes inaugurée le 27 novembre dernier à Félines-Minervois. La municipalité s’est vivement réjouie de la dynamique lancée : “Nous accueillons avec beaucoup de plaisir l’Atelier Paysan avec les idées et les valeurs de transformation qu’il porte, qui s’inscrivent parfaitement dans notre projet municipal. Je suis certaine que c’est le début d’une constructive collaboration, une chance pour les habitants du territoire. Déjà les anciens du village ont investi les locaux, ils vont voir ce qu’il s’y passe, comment on y travaille, discutent et s’y retrouvent comme quand il y avait Maréchal, le ferronnier de père en fils !”, a souligné Anne Cabrié, maire de Félines, dans son discours inaugural. Au programme de cet événement : visite de l’atelier, présentation de l’Atelier Paysan, d’outils agricoles auto-construits, exposition…

Une synergie fructueuse

En amont, une réunion s’est tenue au Foyer rural afin d’échanger sur les enjeux et projets à développer. Objectifs principaux : l’autonomie paysanne par la réappropriation des savoirs et savoir-faire autour de l’outil de production des fermes, et des actions pour ré-humaniser l’agriculture. Ont participé à ce débat constructif Judith Carmona et Mélanie Tisné-Versailles, conseillères régionales qui représentaient Carole Delga, présidente de la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Anne Grumler qui représentait la communauté de communes du Minervois au Caroux, Anne Cabrié, maire de Félines et son 1er adjoint Guy Sabarthès, des acteurs actifs et sociétaires de l’Atelier Paysan dont Jean-Pierre Comte, formateur sur le site de Félines, et Emmanuel Aze, co-auteur de l’ouvrage Reprendre la terre aux machines (éditions du Seuil), des représentants des fondations mécènes telles que la fondation Carasso, la fondation RTE, Un monde pour tous, la fondation Saskia Baron de Rotschild… L’initiative est soutenue par la région Occitanie, notamment pour le financement des formations longues. La Région a également été sollicitée pour financer la suite des investissements sur le site.

S’informer et se former

Une alternative réaliste

Durant cette réunion, les sociétaires – viticulteurs, chefs de domaines, maraîchers, ainsi que les partenaires Chemin Cueillant et Biocivam – ont pu échanger et débattre sur les objectifs de l’Atelier Paysan qui, in fine, visent l’autonomisation du monde paysan face au complexe agro-alimentaire et au morcellement du monde agricole. Les propos étaient clairs : “L’Atelier Paysan permet de s’approprier ses outils pour conduire, au mieux, son exploitation”, “On invite les paysans à penser l’utilisation de la machine…”, “C’est un vrai lieu d’échanges”, “Il y va de la résilience alimentaire”, “Chemin faisant, on voudrait changer le visage de l’agriculture”, “L’ambition est de ne pas rester une alternative sympathique, mais d’être une alternative réaliste”. Dans ce cadre, la formation et l’accompagnement proposés par l’Atelier Paysan sont essentiels.

Anouk Journo

S’informer et se former

Maison des technologies paysannes d’Occitanie, 31 bis, route de Camplong, 34210 Félines-Minervois.

La prochaine formation courte (5 jours) aura lieu à partir du 31 janvier 2022.

Contact :

  • Jean-Pierre Comte au 06.49.13.94.60
  • Une formation longue se déroulera du 7 mars au 18 mai 2022 (inscriptions avant le 20 décembre prochain).

Contact :

  • Réjane Morgantini, 04.76.65.85.98
  • formations-installation@latelierpaysan.org
  • Pour découvrir les formations aller sur www.latelierpaysan.org

Classé sous :Actualités Balisé avec :agroécologie, Atelier Paysan, biocivam, Chemin cueillant, Félines Minervois, maison des technologies paysannes

Homps : la créativité de la Fox Hat Craft Brewery

30 novembre 2021 By Redaction

En juin 2021, Andrew Blakey a ouvert la “Fox Hat Craft Brewery”, une brasserie artisanale dans une région viticole.

Andrew Blakey, fondateur de la brasserie artisanale Fox Hat, est originaire du Yorkshire, en Angleterre, et a grandi dans une ferme où poussait, entre autres, de l’orge. À l’époque, il ignorait à quoi cette céréale servait. Aujourd’hui, quand il hume des grains d’orge, cela lui rappelle son enfance… Même si, entre-temps, il a vécu au Canada pendant une vingtaine d’années. Après y avoir dirigé une entreprise spécialisée dans les constructions en acier, un virage dans sa vie l’a mené depuis London, en Ontario, jusqu’au Minervois : “J’aime le climat, les paysages, l’histoire, la culture, la lumière, la joie de vivre, ainsi que la gastronomie. Et j’avais des amis dans la région”, confie-t-il avec enthousiasme.

De la bière artisanale en terre viticole

Andrew évoque la beer revolution (la révolution de la bière) dans son parcours, le fait qu’il ait bravé le Brexit… En effet, malgré les obstacles liés à la crise sanitaire et aux confinements, il a réussi à ouvrir sa brasserie artisanale, la Fox Hat Craft Brewery, en juin 2021. L’aide de la municipalité de Homps lui a été très précieuse, et il remercie vivement la maire, Béatrice Bort, pour son soutien. Mais pourquoi produire de la bière dans une région viticole ? “Ici, personne n’en fait... Au Canada, j’ai commencé à étudier l’élaboration du vin, mais je me suis tourné vers la fabrication de la bière, qu’on peut brasser toute l’année, avec des saveurs différentes. La base reste l’orge malté que je dois importer, bien sûr, et que je choisis géographiquement en fonction de la bière que je veux produire. Je l’achète en petites quantités, et j’élabore tout le reste ici.” Le processus est réalisé avec attention : “Chaque lot de bière atteint seulement 200 litres. Il y aura une gamme de bières toujours disponibles et un choix qui évoluera avec de nouvelles saveurs brassées une seule fois, et qui ne seront disponibles que jusqu'à ce qu'elles soient épuisées.”

Une histoire de goût et de passion

La créativité d’Andrew Blakey est à l’œuvre en permanence. Ainsi, le nom des étiquettes : “Blackberry Love” pour une bière stout ; “Hop” pour une maltée ; “Samantha” pour une black lager ; “Lionel”… et d’autres encore, six saveurs à ce jour, et même une septième pour la “Fiesta”, bière blonde au goût d’agrumes, “très française”, précise Andrew en souriant. Autre originalité et pas des moindres : l’étiquetage des canettes. “Nous consacrons 80 % de l'espace de nos étiquettes à des artistes locaux pour les aider à promouvoir leur travail à travers un nouveau format : actuellement nos étiquettes présentent des œuvres d'Annette Morris, artiste de Quarante, Nele Boudry de Caunes-Minervois, Vincent Démonsigny d'Olonzac et d’autres...” Un code QR sur l’étiquette permet d’accéder aux sites de ces artistes. Une belle idée ! Last but not least, l’histoire du nom “Fox Hat Craft Brewery”, littéralement “Brasserie artisanale du Chapeau de Renard”, mérite qu’on tende l’oreille… Andrew Blakey et son équipe se feront un plaisir de vous la raconter. Parions que les amateurs d’humour anglais – ou plutôt du Yorkshire ? – apprécieront !

Anouk Journo

  • Rens. : fr.foxhatcraftbrewery.fr
  • Contact : foxhatcraftbrewery@hotmail.com

Accords maltés

Depuis peu, la Fox Hat Craft Brewery collabore avec le restaurant “Le Foudre” qui propose des plats en harmonie avec ses bières. Pour en savoir plus, rendez-vous au marché de Noël prévu à Homps les 18 et 19 décembre prochains, sur la terrasse du restaurant “Le Foudre”.

Classé sous :Actualités Balisé avec :Andrew Blakey, artisanat, bière, Fox Hat Craft Brewery, Homps

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