Partager la publication "Pouzols : “Le livre des j’aime”, animation lecture à la bibliothèque"
Une animation à partir d’un album jeunesse a été menée à la bibliothèque municipale de Pouzols. Quelques enfants sont venus samedi matin 12 février pour écouter la délicieuse et malicieuse lecture du Livre des j’aime.

Le geste de matérialiser un cœur avec les doigts des deux mains a été fait à maintes reprises sur les podiums des J.-O. de Pékin. Ce même geste se retrouve dessiné sur la couverture du livre pour enfants (et pour adultes ayant gardé des pépites enfantines dans leur esprit) édité par l’école des Loisirs, écrit par Hervé Eparvier et illustré par Soledad Bravi. Le livre des j’aime présente des situations parfois un peu transgressives, pour le plus grand plaisir des auditeurs : “J’aime sauter dans les flaques”, dit un des personnages dès le début du livre. Emilie Héquin, bénévole fidèle de la bibliothèque, anime une séance créative tous les mois. Elle propose un moment d’échanges entre enfants et adultes accompagnants, un moment pour se poser, ralentir la course du temps et promouvoir des échanges par le biais d’une médiation culturelle gratuite. L’album une fois présenté, elle a mis à disposition papiers de couleur, feutres, ciseaux, pochoirs, etc. Les participants ont eu à cœur de découper des cœurs pour y marquer ce qu’ils aiment, pour ensuite les coller sur un “arbre des cœurs”.
Prochaine séance
Samedi matin, le 19 mars à 10 heures, autour du livre-jeunesse J’ai rêvé que…, ce sera Méline Héquin, la fille d’Emilie, qui proposera ses services, tout en assurant la publicité et le bouche-à-oreille auparavant. Et à la suite de la Journée internationale des droits des femmes (8 mars), Emilie animera le samedi 12 mars une matinée conférence (même lieu, même heure, pour adultes) sur le sujet : “Je me décharge de cette charge mentale…”, charge mentale qui alourdit souvent le quotidien des concernées ! à noter que la bibliothèque municipale pouzolaise se trouve rue de la République, tout près de l’accueil de la mairie.
Texte et photo Christiane Lehmann