Après deux ans d’absence et un report du 2 au 23 avril pour cause de mauvais temps, le parcours sportif départemental des sapeurs-pompiers a vu ses épreuves interrompues à cause d’un violent orage de grêle .

C’est sous un ciel couvert que la compétition a démarré le matin avec les jeunes sapeurs-pompiers (JSP) et les juniors. Les huit sections de l’Aude : Carcassonne, Castelnaudary, Haute-Vallée, Lézignan, Fleury-d’Aude, Narbonne, Port-la-Nouvelle / Gruissan et Laure-Minervois, ont été accueillies par Sébastien Campaci, chef du centre local, Serge Munoz, président départemental des JSP, le colonel Jean-Luc Beccari, directeur du SDIS 11, Christian Raynaud, président du SDIS 11, le capitaine Michel Faelli, représentant de l’UDSP (Union départementale des sapeurs-pompiers), Denise Gils et Bernard Yagues, maires de Peyriac et de Rieux.

Le soleil brillait quand les JSP, filles et garçons, se sont mesurés au cours d’un même parcours qui faisait autant appel à leur rapidité qu’à leur dextérité et à leur équilibre. La matinée s’est achevée par la remise de médailles aux meilleurs d’entre eux.
À midi, les cuistots du centre Rieux-Peyriac se sont affairés à préparer des barquettes de frites et à griller des saucisses et des merguez, vendues en sandwich.

À 13h30, le sport allait reprendre ses droits quand l’orage est survenu. Compétiteurs, organisateurs et badauds ont couru se réfugier dans la caserne. C’est là qu’ont eu lieu le saut en hauteur et le grimper à la corde, toutes catégories. Quelques épreuves ont été annulées à cause du terrain détrempé et boueux mais le lancer du poids, les courses de vitesse et celles de demi-fond, toutes catégories, ont pu se dérouler “presque” normalement.

La journée s’est terminée par la remise de médailles et de trophées aux lauréats, le premier de chaque catégorie étant en plus sélectionné pour le challenge régional. Ces remises ont été effectuées par les personnalités et les élus déjà présents au lancement, auxquels s’était joint Alain Giniès, conseiller cantonal du Haut-Minervois.
Texte et photos Danièle Storaï