La Semaine du Minervois

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C’est le printemps, on fait quoi maintenant ?

1 avril 2021 By Redaction

Les beaux jours sont de retour mais un troisième confinement vient d'être de nouveau déclenché. Alors que le reste de l'Europe a « profité » de l'hiver pour tenter de faire baisser les courbes, en France que nenni ! Ici, on a le droit à un couvre feu et un confinement qui, techniquement soyons honnêtes, n'en n'est pas vraiment un. Il suffit de regarder les infos du soir montrant les grandes villes françaises pour le constater. Difficile de reprocher aux citadins français de profiter du peu de libertés que l'état leur laisse. Ici, à la campagne, il est toujours plus facile de trouver un coin tranquille pour respirer et se dégourdir les guibolles sans avoir besoin de prendre un métro, un bus, un train de banlieue ou de virer paranoïaque et coupable à la vue de la moindre force de l'ordre. La pression quotidienne n'est clairement pas la même. Alors que le printemps est officiellement arrivé et que les températures montent, les actes de désobéissance civile risquent donc de se multiplier. C'est que la population en a clairement ras le bol mais continue tant bien que mal à se conformer à des directives loufoques et souvent incohérentes, mais pour combien de temps ? Se sentir coupable d'être dehors, d'être un patient potentiel de plus qui rempli les réas, d'être une charge pour les soignants qui galèrent dans des hôpitaux sous équipés et en sous-effectifs, est-ce donc là dessus que le gouvernement mise toujours pour faire courber l'échine à un peuple déjà éreinté ? Alors, certes, personne n'a envie de tomber malade ou de voir disparaître les plus fragiles par sa faute, mais cette situation ubuesque ne peut continuer indéfiniment et les comptes devront être réglés un jour. Les élections présidentielles sont à l'horizon et la communication gouvernementale va tenter par tous les moyens de faire oublier le palmarès de ratés qu'ils ont infligé au pays en agitant l'épouvantail de l'extrême droite. Espérons que les plus épuisés d'entre nous ne tomberont pas dans cette arnaque démocratique et que le monde de demain soit comme les jours de la saison... de plus en plus lumineux.

Tristan Geoffroy

Classé sous :Edito Balisé avec :confinement, covid, gouvernement, santé

Pouzols : petites stratégies de survie mentale par temps très incertains et moroses…

9 mars 2021 By Redaction

L’état d’urgence sanitaire, depuis le 23 mars de l’an dernier, régente notre vie quotidienne. L’incertitude des lendemains et la longueur de la crise mettent notre moral à rude épreuve. Cueillir, au ras des pâquerettes, quelques modestes gestes de résistance : programme de « détox » printanière !

Durer pendant la pandémie, ce n’est pas uniquement courber l’échine devant les injonctions. Nous voilà capables depuis tous ces mois consécutifs - et cela n’est pas terminé - de consentir, plus ou moins contraints et contrits, à des efforts et sacrifices quotidiens, dans tous les domaines et à tout âge, et qui que l’on soit. Au fil de « micros - trottoirs » furtifs et de « micros - garrigue » fortuits (la saison de ramassage d’asperges sauvages commence !), les gens interpellés s’expriment sur leurs joies et difficultés au jour le jour. Il se dégage de leurs réponses non seulement un besoin de faire le dos rond mais une furieuse envie de s’en sortir.

A chacun sa méthode

Une telle rythme ses matinées par le passage à la petite épicerie de village, bien utile au-delà de sa vocation strictement commerciale. Et l’après-midi est consacrée à une scrabble-party en comité très restreint chez une autre dame férue de jeux de société. Avec les appels téléphoniques de la famille au loin, la lettre pastorale remise chaque dimanche par une amie (pas facile de garder ce lien spirituel lorsqu’il n’y a pas d’Internet) et le passage de l’une ou l’autre voisine ou élue municipale, le moral reste globalement bon. Un tel s’amuse à construire des cairns (amas de pierre disposé artificiellement) et autres réalisations minérales lors de ses escapades dans la nature. L’art éphémère pour apprivoiser la lourdeur du moment…

Décorations de jardin : silhouettes étranges appelées « totems »

Une telle encore se raccroche à la fréquentation conviviale (malgré gestes barrières et tout le toutim) de la bibliothèque municipale, toujours bien achalandée en livres et revues, ainsi qu’en bandes-dessinées, qui parfois suivent l’actualité des articles parus dans le journal La Semaine du Minervois : ainsi cet ouvrage écrit par Leïla Slimani et illustré par Clément Oubrerie (Editions Les Arènes) au sujet de la vie extraordinaire de Suzanne Noël. (Rond Point près de l’entrée Nord - Ouest de Narbonne)

Un tel encore crée d’étranges silhouettes dans son jardin, en recyclant bois divers, objets de récupération et vieux outils agraires… Des présences silencieuses mais si originales. Sans oublier cet employé d’une animalerie des environs qui, quasi obligé de prendre en charge un petit chien lors du premier confinement, l’a définitivement adopté malgré deux autres canidés, un chat et deux tortues à domicile. D’ailleurs le nombre de maîtres ou maîtresses qui promènent des chiens ou qui ont investi dans un ou deux chevaux au pré, a sensiblement augmenté depuis le début de la pandémie… Parfois avec bonheur… parfois moins, vu la surcharge de travail. Mais ceci est une autre histoire !

Christiane Lehmann

Classé sous :Actualités Balisé avec :art, convivialité, covid, morosité, urgence sanitaire

Crise sanitaire : reconnaissance pour les travailleurs placés en première ligne

8 mars 2021 By Redaction

Le sénateur de l'Aude, Sébastien Pla, membre du groupe Socialiste, écologiste et républicain demande un geste de reconnaissance de la Nation envers les travailleurs maintenus à leurs postes durant la crise sanitaire.

Sébastien Pla

Alors que l’épidémie de Covid-19 a imposé un arrêt partiel ou total d’activités jugées « non essentielles », d’autres travailleurs sont restés mobilisés face à l’urgence placés en première ligne pour continuer à faire fonctionner le pays, « infrastructure invisible mais indispensable » pour permettre aux Français se nourrir, se soigner, se protéger, et s’instruire. Ils/elles travaillent dans la manutention, la logistique, l’acheminement, les travaux, artisans, maçons, agents d’entretiens, commis, chauffeurs routiers, caristes, ouvriers agricoles, paysans, magasiniers… essentiellement des hommes, dont le travail s’effectue aussi de nuit. Ils/elles travaillent aux guichets, au plus près de la relation client : vendeur, caissier, réceptionniste, essentiellement des femmes. Ils/elles travaillent encore dans le monde du soin et du « prendre soin » : brancardiers, ambulanciers, soignants, auxiliaires de vie, agents d’entretien, cantonniers, rippeurs… Ils/elles sont aussi les Premières lignes de la République : métiers publics et parapublics, qui assurent la continuité de la Nation, assistants d’éducation, enseignants, travailleurs sociaux, policiers, gendarmes, postiers, agents d’entretien les lignes électriques, gaz, téléphonie… Tous, restés debout face au virus, quand d’autres se sont arrêtés ou ont été placés en télétravail, restés mobilisés pour soutenir le pays et assurer les besoins essentiels à notre vie en société. Le sénateur a demandé à la Ministre du Travail, Elisabeth Borne, « d’adresser un geste fort à l’égard de celles et ceux qui ont permis, tous sentinelles de notre Nation, et malgré la crise sanitaire, d’éviter un effondrement total de notre économie. En juste reconnaissance de la Nation à leur égard et de leurs mérites à tenir leur poste malgré les risques encourus », il souhaite que leur soit accordées : la garantie d’une reconnaissance, comme pour les soignants, de maladie professionnelle en cas d’infection à la covid 19, une bonification de leur retraite par l’octroi de 8 trimestres à taux plein, une déduction fiscale de 15% sur l’impôt sur le revenu ou un crédit d’impôt.

Classé sous :Brèves Balisé avec :covid, première ligne, santé, Sebastien Pla, Sénateur, travailleurs

Lézignan : vaccination, changement d’adresse du centre Covid

5 mars 2021 By Redaction

Depuis lundi 1er mars, la vaccination contre la Covid-19 avec le vaccin Pfizer est ouverte à la salle Pelloutier, impasse du Père Lacordaire de 8h30 à 17h30. Les personnes concernées sont, pour l’instant, les personnes de plus de 75 ans et les personnes de plus de 65 ans en comorbidité (personnes à risque). La prise de rendez-vous pour la vaccination est obligatoire. Pour cela deux solutions : contacter son médecin traitant pour qu’il transmette ses coordonnées à la Maison de garde. La mairie contactera les personnes pour les informer de la date de la vaccination (seul un médecin traitant pourra transmettre la demande de vaccination d’une personne en comorbidité) ou contacter la mairie (directement en mairie ou par téléphone).

Contact mairie : 04.68.27.10.32.

Classé sous :Brèves Balisé avec :covid, Lézignan, maison de garde, vaccination

Santé mentale : des dispositifs de soutien psychologique au service du grand public et des professionnels

11 décembre 2020 By Redaction

La crise sanitaire et le confinement ont un impact sur notre vie quotidienne et notamment, notre santé physique et mentale, on note cet automne, une importante augmentation des états dépressifs.

Dans le contexte épidémique qui perdure, de nombreuses personnes peuvent être confrontées à des difficultés psychologiques liées à leur exercice professionnel et/ou leur situation personnelle. Selon Santé Publique France, la santé mentale des Français s’est significativement dégradée cet automne avec une augmentation importante des états dépressifs pour l’ensemble de la population, en particulier chez les personnes déclarant une situation financière très difficile et chez les plus jeunes (18-34 ans). La hausse des symptômes dépressifs a été observée pour tous les profils socio démographiques, traduisant une dégradation de l’état de santé mentale à l’échelle de l’ensemble de la population.

Des dispositifs de soutien psychologique

Pour aider le grand public comme les professionnels de santé à faire face à ces difficultés, des dispositifs de soutien psychologique ont été organisés. Animés par des professionnels volontaires (psychologues, psychiatres, infirmières…), ces services ont pour objectif d’apporter une réponse spécifique au personnes en situation de détresse psychologique.

Au niveau national, un dispositif d’écoute est à la disposition de tous au 0 800 130 000, accessible 24h/24, 7 jours/7 (appel gratuit).

En Occitanie, le dispositif de soutien psychologique et traumatique régional financé par l’ARS et porté par le CHU de Toulouse propose aussi une écoute et des conseils pour les soignants et pour le grand public au 05.34.39.33.47 (tous les jours de 9h à 18h - Appel gratuit). Ce dispositif vise à apporter une réponse spécifique aux appels pour stress liés au Covid, à l’isolement et aux situations psycho-traumatiques individuelles.

De nombreuses autres plates-formes de soutien sont à la disposition des professionnels de santé (liste à consulter sur le site de l'ARS Occitanie)

De nombreux dispositifs d’aide à distance spécialisés sont également accessibles pendant cette période épidémique (SOS Amitié, violences faites aux femmes, maltraitances, addictions, santé mentale…) Ils peuvent apporter écoute et conseils en fonction de chaque situation. Liste à consulter sur le site de Santé publique France)

 

Classé sous :Actualités Balisé avec :covid, depression, psychiatrie, santé mentale

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