La Semaine du Minervois

Hebdomadaire du territoire Minervois

  • Accueil
  • Nos sections
    • Tous les articles
    • Toutes les brèves
    • Toutes les humeurs d’Alfred
    • Tous les éditos
    • Toutes les unes
    • Toutes les pages Jeunesse
  • Nos points de vente
  • Nos annonces
    • Annonces légales
    • Petites annonces
    • Publicité
  • S’abonner
  • Soutenez le journal !
  • Qui sommes-nous ?
    • L’équipe
    • Correspondants
    • Écrivez !

Caunes : un projet de lotissement inquiète les résidents

1 mars 2022 By Redaction

À Caunes-Minervois, le projet d’un lotissement au lieu-dit la Grange, route de Carcassonne, est loin de faire l’unanimité. Une association, “Avenir à Caunes”, créée le 11 décembre 2021, prend le sujet très au sérieux et se mobilise pour que ce projet immobilier soit abandonné.

Avenir à Caunes (Association vigilante à l’environnement, la nature et l’information des résidents) s’indigne et proteste contre le projet immobilier démesuré à l’entrée de la commune, sur le site dit “la Grange” appartenant à un propriétaire privé. Si les parcelles constructibles concernées sont dans le PLU (plan local d'urbanisme), la pression immobilière est forte sur une surface totale de terrain de 18 970 m2, avec 43 lots denses et 29 lots diffus. Ces logements seront destinés essentiellement à la location, allant du T2 au T4, sur une surface terrain bâtie de 13 968 m2, avec trois accès à créer et à aménager.

Ressource en eau, sécurité routière, capacité d'accueil des infrastructures, environnement ?

Les inquiétudes de l’association portent sur l’approvisionnement en eau potable de tous ces nouveaux résidents, la commune ayant toujours fait des rappels pour économiser cette ressource pendant les périodes de sécheresse de plus en plus longues à cause du réchauffement climatique. Mais également, sur la dangerosité de la circulation routière à la sortie de la station-service, sur la capacité d’accueil des infrastructures existantes, comme par exemple l’école, qui est trop petite pour accueillir un surplus d’enfants, sur l’augmentation des eaux de ruissellement pour le village en contrebas, sur la dégradation des paysages et, qui plus est, pour ce lieu-dit, la Grange. En effet, dans le Cartulaire et Archives des Communes de l’ancien diocèse et de l’arrondissement administratif de Carcassonne, par M. Mahul est mentionné : “La Grange, métairie proche la ville de Caunes, appartenait aux Bénédictins de Caunes ; vendue par la Nation ; acquéreur, M. Cathala de Roquefère. -1861, propriétaire, M. Antoine Guibbert”. Le site dit la Grange figure déjà sur la carte de Cassini au 18e siècle.

Pétition en ligne

Une pétition mise en ligne (sur change.org) et sur papier a recueilli pour l’instant 350 signatures. L’association envisage une réunion publique pour informer les villageois et demande une évaluation de la situation actuelle de l’alimentation en eau potable. Quant à la pollution lumineuse nocturne, même si les éclairages s’éteignent à partir de minuit, elle sera encore plus importante par l’implantation de nouveaux lampadaires qui ont un impact sur la faune et la flore.

Texte et photo Virginie Pospisil Puente

Classé sous :Actualités Balisé avec :Avenir à Caunes, caunes minervois, Eau, immobilier, logement social, lotissement, ressources

Chronique au fil de l’eau : bruissements d’un peuple au bord de l’eau

3 septembre 2021 By Redaction

Qu’il soit blanc ou noir, qu’il « tremble » ou frisonne, il a traversé les millénaires au souffle du temps, agité par l’Histoire des hommes, des Dieux et des Arts. « Facile » et élégant, il s’est glissé dans le paysage, s’est multiplié, groupé et aligné, toujours attiré par le miroir d’eau, enflammant les passions… et les allumettes!

Se lancer dans une chronique dont des chapitres sont consacrés aux arbres du canal du Midi c’est pénétrer dans un univers où les destinées de chaque essence s’interpénètrent et se rejoignent en bien des valeurs communes : L’Arbre, cette nature fascinante qui se révèle en chacun des noms qu’il porte, celui de « peuplier » n’échappant pas à ce foisonnement de découvertes.

Au nom de « peuple »

Le fruit du peuplier blanc. Extrait de la planche botanique d’Albert PETER 1853-1937 publiée en 1901 par PAREY (Berlin) 1901

Ah ! Sans le latin et ces sacrés Romains, notre peuplier serait resté dans les tourments des courants d’air de l’Olympe, attaché à sa racine grecque «pel », soit « secouer, agiter », base de l’étymologie latine « populus ». Et ce mouvement s’accompagna même, dans sa signification en grec ancien, d’une petite musique, comme un froissement de feuilles qui fredonne au gré des humeurs d’Éole, l’espèce « Populus tremula » (Tremble) le magnifiant dans l’agitation d’un murmure perpétuel. Or cela était sans compter sur nos braves gens du XVe siècle, qui vont s’emparer du populus pour le confondre et, tout bonnement, nommer notre arbre « peuple », le faisant leur. Et cela perdura. Peut-être même que ce fut surtout une histoire de Normands, comme le confirme Maupassant qui, en 1883, écrivait dans son premier roman « Une vie »: « … deux longues avenues de peupliers démesurés, appelés peuples en Normandie...». Puisque dès lors il faisait partie du peuple citoyen, il rejoignit les symboles de « Liberté » au point de supplanter l‘orme et de devenir l’arbre de la Révolution de 1848 le plus planté alors dans toute la France. Quant au suffixe « ier » de « arius » il s’imposa pour souligner la capacité de l’arbre à produire des fruits, autant de petites capsules en chatons libérant, à maturité, de minuscules graines entourées d’un voile de coton... dans lequel naissent, paraît-il des elfes… Tout cela laissera cependant à l’Occitan le soin de se régaler de poêlées de piboulades, ces champignons sauvages que l’on trouve au pied du tronc du pibol (peuplier).

Mythes et légendes d’une dualité

Transformation en peupliers des Héliades, les sœurs de Phaèton, qui, ayant volé le char d’Apollon, fut terrassé par Zeus et tomba mort dans le fleuve près de l'Eridan. Aujourd’hui au bord du Po se trouve toujours une enfilade de peupliers évoquant cette page de la mythologie. Gravure datée entre 1630 et 1640 par Pierre Brébiette, peintre graveur du XVIIe siècle

Entre Alba le blanc et Nigra le noir, notre peuplier se joue ainsi des extrêmes le qualifiant pour désigner deux de ses espèces les plus connues. Et la mythologie gréco-romaine n’est pas en reste pour nous conter l’ambivalence de ces contraires puisque d’Homère à Ovide, il en est bien question. Sans trop nous égarer dans les arcanes oniriques des antiques poètes, rappelons-nous simplement que le premier en fit l’arbre saluant la barque des âmes défuntes sur les bords de l’infernal fleuve Achéron. Il fut aussi le « fétiche » d’Héraclès qui, traversant les limbes, en rapporta le dit peuplier dont il tressa une couronne, symbolisant le monde des ténèbres et la renaissance. Les feuilles étaient devenues noires côté recto et d’un brillant argenté au verso, luminescence née au contact de sa glorieuse sueur. Funéraire et générateur, associé aux métamorphoses, au temps qui passe et à la régénération, celles des êtres et des nymphes, telle Leuké, la fille de l'Océan échappant à Hadès, le peuplier passe allégrement du noir au blanc. Son aura est celle de l’arbre de la « mort lumineuse » et de la fécondité.

Esprit de l’eau et du soleil

« La fée du peuplier » où se dessine ce soyeux duvet entourant le fruit du peuplier et d’où jaillissent des êtres de magie… « The Poplar fairy » est une peinture mixte (aquarelle, encre et pastels) de 1923 de l’illustratrice britannique Cicely Mary Barker, passionnée de nature et d’être surnaturels. Fervente anglicane qui donna toutes ses collections à des œuvres caritatives.

Face sombre d’un côté et face blanche de l’autre pour son feuillage, le peuplier, toujours empreint de sa dualité et du signe de l’eau dont il recherche la proximité, est devenu l’arbre des passages, de la nuit au jour, des saisons, de la course du soleil et des prophéties. La plus populaire dite « météorologique » annonce : « quand, sous le vent, se voit l’argenté du peuplier c’est que la pluie va tomber »! Il est également associé aux solstices, particulièrement sur le pourtour méditerranéen, et aux équinoxes, plutôt par les peuples du Nord. En Sicile la tradition perdure de fêter la Sainte Poutre le 21 juin, suivant un rituel bruyant et dansant autour d’un tronc de peuplier blanc coupé, incarnant l’ascension solaire à son extrême et la chute vers l’hiver. Quant aux Celtes, ils choisissaient le peuplier blanc pour l’équinoxe de printemps et le noir pour celui de l’automne. Les Gaulois, eux, l’ont célébré dans les chuchotements de sa frondaison frissonnant aux vents. Il devint leur dieu Ogmios, « l’arbre à palabre », celui qui respire du souffle des paroles du village, réuni sous son ombrage, là où les hommes communiquent et échangent. L’ogham celtique qui désigne l’alphabet primitif irlandais en est un mot dérivé.

La peuplomanie venue d’Italie

L’écluse de Négra jadis nommée de Montesquieu (-Lauragais) site où les premiers plants de peupliers d’Italie furent plantés en 1766.

Et si nous revenions un peu à notre canal… La société d’agriculture de la haute Garonne indique « 1766 » comme année des premières boutures de peuplier d’Italie (Populus nigra Italica) plantées dans la retenue de Négra, à Montesquieu-Lauragais. Ce site est connu pour son aqueduc de Vauban, construit en 1688-1689 par D. Gillade, et comme « dinée », à une trentaine de kilomètres de Toulouse, étape appréciée des passagers de la barque de poste. Ils pouvaient y déjeuner le midi et y prier dans une charmante chapelle, construite en 1692 (remaniée au XIX et restaurée au XXe). En fait le fameux arbre, né d’un croisement entre deux peupliers, « le noir » et « l’américain », avait été ramené vers 1740 par Noël de Règemorte, ingénieur des Ponts et Chaussées. Alors chef des armées françaises en Italie il avait constaté que le peuplier faisait majoritairement partie du paysage. Il faut dire que certaines traditions encourageaient cette présence : dans la région de Bologne par exemple, la dot d’une jeune fille était constituée par la vente des peupliers plantés à sa naissance. Plus la peupleraie avait été abondante au départ, parfois atteignant jusqu’à mille pieds, plus l’union se dessinait prometteuse. Séduit par la silhouette, la croissance et la facilité de culture de l’arbre en question, notre homme alors revenu du pays de Virgile n’hésita pas à présenter sa découverte à Louis XV qui encouragea l’introduction du peuplier dans le Royaume. Et suivant les écrits du poète dans Les Bucoliques, précisant que «Le peuplier est agréable à Hercule, la vigne à Bacchus… », l’arbre devint si agréable au pays de France que son succès fut très vite au rendez-vous. S’en suivit une véritable passion que l’abbé Rozier nomma « la peuplomanie », qui gagna donc aussi les berges du canal du Midi et dont nous poursuivrons les méandres la semaine prochaine.

Véronique Herman

Classé sous :Actualités Balisé avec :arbres, canal du Midi, chronique au fil de l'eau, Eau, peupliers

Sécheresse : la généralisation se confirme sur le département de l’Aude

19 août 2021 By Redaction

Communiqué de presse de la préfecture de l'Aude

Crédit photo Petria Follett

SÉCHERESSE : la généralisation de la sécheresse se confirme et nécessite un renforcement des mesures de restriction pour partager l’eau de façon solidaire dans la majorité du département de l’Aude. Au vu de la situation météorologique, le Préfet de l’Aude a décidé de mettre en place de nouvelles mesures de restriction de l’usage de l’eau sur les bassins versants les plus touchés par la sécheresse.

L’absence prolongée de pluies significatives depuis le début du printemps, malgré une météorologie contrastée début août se traduit encore par une accentuation de la situation de sécheresse que nous connaissons.

En conséquence, et après discussion lors du comité de gestion de l’eau associant l’ensemble des parties prenantes et au vu de la poursuite de la tendance a la baisse au cours du week‐end dernier, le préfet de l’Aude a décide de renforcer les mesures de restriction en passant au niveau de crise sur les bassins versants de la Berre et de l’Orbieu. Les autres bassins versants sont maintenus au niveau actuellement en vigueur (niveau alerte renforce).

Sur le département sont interdits :

  • l’arrosage des pelouses, espaces verts publics et privés, jardins d’agrément ;
  • l’arrosage des espaces sportifs, sauf une nuit par semaine ;
  • l’arrosage des jardins potagers de 8 heures à 20 heures (cet arrosage est autorisé deux heures par jour entre 20 heures et 8 heures) ;
  • le lavage des voitures hors des installations professionnelles et sauf obligation réglementaire ;
  • le remplissage des piscines ;
  • la vidange des plans d’eau de toute nature.
  • L’arrosage des cultures est réduit de 70 % dans les secteurs en crise et de 50 % sur le reste du département.

Il est demande a tous, particuliers, professionnels, collectivités de se montrer exemplaire en respectant scrupuleusement ces mesures de restriction, afin de partager la ressource en eau qui devrait continuer a se raréfier dans les semaines a venir.

Un nouveau renforcement des mesures de restriction sera probablement décidé dès la semaine prochaine, afin de s’adapter à cette sécheresse exceptionnelle sur la majeure partie du département. Les mesures sont prises pour éviter autant que possible des ruptures d’ alimentation en eau potable dans les semaines à venir mais néanmoins ce risque devient de plus en plus probable, les services gestionnaires doivent commencer à s’y préparer sans délai.

Toute difficulté rencontrée pourra faire l’objet d’une information a la Direction Départementale des Territoires et de la Mer de l’Aude (04.68.10.31.00 ou ddtm‐sema@aude.gouv.fr).

Un prochain comité de gestion de l'eau est programmé aujourd'hui, le 19 août pour actualiser l’état de sécheresse et envisager la mise en place de mesures complémentaires.

Classé sous :Actualités Balisé avec :communiqué de presse, Eau, préfecture, sécheresse

Villeneuve : un bassin de rétention pour la sécurisation

16 août 2021 By Redaction

Un énorme cratère de 950 m3

Depuis quelques jours un bruit d’engins de travaux publics se fait entendre en bordure de l’avenue des Minervois. Il s’agit d’importants travaux consistant à agrandir le bassin de rétention des eaux de 350 m3, déjà existant, pour absorber les eaux (toits et voirie) du futur lotissement La Pinède 2. C’est une véritable excavation de 2,30 mètres de profondeur d’une contenance de 950 m3 alimenté par une buse de 60 cm de diamètre pour absorber les crues centennales comme le préconise la DDTM (Direction départementale des territoires et de la mer) et une buse de 20 cm en fond de bassin pour l’écoulement de l’eau. Les parois sont formées de talus couchés pour la solidité du site, un accès au chemin de ronde, par un portail, est prévu pour l’entretien du site qui sera prochainement clôturé. Les plages ont été stabilisées par un compacteur d’une capacité de tassement de 22 tonnes. Un mur est prévu le long de la voie séparant les deux lotissements. Les travaux effectués par l’entreprise Gros, propriétaire du terrain, sont en voie d’être terminés. Ils permettront d’assurer la sécurité lors des crues importantes comme celles de 1999, 15 mars 2011, 14 février 2017 et 15 octobre 2018.

Texte et photo Guy Cano

Classé sous :Brèves Balisé avec :aménagement, crues, Eau, inondations, villeneuve

L ‘Aude et l’Hérault instaurent des mesures de restriction des usages de l’eau

8 juillet 2021 By Redaction

Concernant l'Aude, la pluviométrie depuis septembre 2020 est globalement déficitaire sur le département et ce manque de précipitation s’est significativement accentué en raison des mois d’avril et mai particulièrement secs. La majeure partie des aquifères tendent vers des niveaux bas en raison du manque de recharge en période hivernale. Dans ce contexte de faibles précipitations, les débits des cours d’eau atteignent des valeurs particulièrement déficitaires. Cette situation hydrologique a d’ores et déjà conduit les préfectures à placer l’ensemble du département en vigilance. Le niveau de vigilance constitue un appel à tous les usagers à avoir une consommation d’eau économe et raisonnée. Il est plus particulièrement demandé : à tout utilisateur d’eau, d’optimiser ses consommations et de les réduire au strict nécessaire, qu’elles soient destinées à un usage privé ou professionnel :

  • aux exploitants des stations d’épuration, d’effectuer une surveillance accrue de leurs installations ;
  • aux maires et aux compagnies fermières gérant la distribution de l’eau potable, de réaliser une surveillance accrue de leur ressource en eau et du marnage de leur réservoir ;
  • aux activités industrielles, agricoles et commerciales, de limiter au strict nécessaire leur consommation d’eau ;
  • aux bénéficiaires de droits de prélèvement en cours d’eau, de respecter les débits réservés réglementaires.

Un prochain comité de gestion de l'eau sera programmé selon l’évolution des niveaux des cours d’eau et nappes, pour envisager, le cas échéant, la mise en place de mesures complémentaires.

Concernant l'Hérault, le début du mois de juin a vu s’installer des conditions climatiques très chaudes et sèches, mettant fin à un mois de mai frais mais qui restait insuffisamment pluvieux. Ce printemps plutôt sec renforce donc le déficit hydrologique du département sur la période septembre à juin. Les nappes d’eaux souterraines, plutôt stables en mai avec des niveaux normaux à bas pour la période, retrouvent une tendance à la baisse pour 70% des aquifères suivis. Les débits des cours d’eau, qui avaient globalement bénéficié des pluies de mai, retrouvent des niveaux d’étiage marquant une tendance sèche, notamment les affluents de l’Orb (Jaur, Mare et Vernazobre) et le bassin versant du Vidourle. Du fait de la forte hausse des températures, il est constaté une augmentation sensible des prélèvements domestiques et agricoles engagée avant l’été et le début de la pleine saison touristique. Compte tenu de ce constat, et conformément à la proposition du comité sécheresse1, les premières restrictions d’usage de niveau alerte sont mises en place sur la partie héraultaise du Vidourle et les affluents de l’Orb (la Mare, le Jaur et le Vernazobres). Le reste du département est maintenu en vigilance. Le prochain point de situation aura lieu début juillet.

Premières restrictions sur les affluents de l'Orb et sur le Vidourle

  • Interdiction 24h/24h : de remplir des piscines privées, laver des véhicules en dehors des stations professionnelles, de faire fonctionner des bornes et fontaines en circuit ouvert.
  • Interdiction de 8h à 20h : d’arroser des terrains de sports, des golfs, des jardins, des pelouses et espaces verts publics et privés, des jardins potagers ou d’agrément

·Mise en œuvre des dispositifs spécifiques, prévus en cas de sécheresse, pour le fonctionnement des Installations Classées Pour l’Environnement (ICPE), des stations d’épuration, des plans d’eau, des activités économiques, commerciales et industrielles, et les associations hydrauliques agricoles (ASA) etc.

Toutes les informations sur le site internet des services de l’État : l’arrêté préfectoral, la carte des zones concernées, les mesures… : http://www.herault.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-risques-naturels-et-technologiques/Eau/Secheresse

Classé sous :Actualités Balisé avec :Aude, communiqué de presse, Eau, herault, sécheresse

  • 1
  • 2
  • 3
  • Page suivante »

Coordonnées

La Semaine du Minervois
7 Bis, avenue de Homps
34210 – Olonzac
Tel: 04 68 27 86 86
Fax: 04 68 27 86 85
semaineduminervois@wanadoo.fr
Directrice de publication Lydie Rech
N° de Siret : 533 509 634 00010
Hébergeur: Ionos
7 Place de la Gare
57200 Sarreguemines
Tel : 09 70 80 89 11

Soutenez le journal !

Catégories d’articles

  • Actualités (1 143)
  • Brèves (919)
  • Chroniques d'Alfred (17)
  • Correspondants (1)
  • Edito (140)
  • Image à la une (44)
  • Jeunesse (39)
  • La Une de cette semaine (202)
  • Petites Annonces (18)

Archives du site par mois

  • tous en bio en occitanie
  • la une alternatif
  • la une de la Semaine du 15 mars
  • Femmes du Minervois

Copyright © 2022 La Semaine du Minervois