La Semaine du Minervois

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Narbonne : rendez-vous Instants Eco

17 novembre 2021 By Redaction

Innoveum, Pépinière-Hôtel d’entreprises du Grand Narbonne, propose de participer en présentiel, le jeudi 18 novembre, aux Instants Eco sur le thème Dirigeant, comment préserver sa trésorerie? Laëtitia Pujol de l'Agence KM Gestion, animera ce rendez-vous au cours duquel elle transmettra conseils et astuces.

Inscription gratuite passe sanitaire obligatoire

Information et inscription sur aude.cci.fr

Classé sous :Brèves Balisé avec :economie, Instant Éco, narbonne

Cafés, restaurants, cinémas : pass sanitaire : quels impacts sur l’économie locale ?

7 septembre 2021 By Redaction

Depuis le 9 août l'obligation de pass sanitaire a impacté diversement la fréquentation des bars et restaurants du territoire. En revanche, les cinémas accusent tous une chute de 50 à 70% de leur chiffre d'affaire

© L.Rech

Sur la vingtaine de patrons de cafés et restaurants du Minervois interrogés, quelques-uns, comme le Café du Midi ou le bar de la Promenade à Bize, le restaurant de l'Ecluse et la Guinguette du lac à Olonzac, n'ont pas noté de baisse de fréquentation de leur établissement. Cependant la plupart enregistre une chute du chiffre d'affaire allant de 30% pour le café de la Grande fontaine à Caunes, 35% pour la buvette de Cabezac à Bize, 40% pour la Table des vignerons à Trausse et jusqu'à 50% pour le restaurant Le Bel à Olonzac, Olonzac, où le Café de la Poste a vu sa clientèle baisser de 60% lors de la première semaine de mise en œuvre du pass, mais constate un retour à la normale depuis quinze jours. De même, le restaurant La Cave à La Caunette a perdu plus de 50% de sa clientèle la première semaine et constate un retour à la normale progressif.

Pour les Ardeillès à Lespinassière, les recettes du bar ont subit une baisse, mais côté restauration, rien à signaler. « C'est surtout lors de la rencontre de producteurs qui se tient sur la piste, juste à côté de notre restaurant, que nous avions plus de monde autour du zinc », déclare Philippe Duguait, aux commandes de l'établissement avec Isabelle son épouse. « Malheureusement, depuis l'arrivée du pass, bon nombre des personnes qui le fréquentent n'ont pas le fameux document et le bar reste donc vide. Mais il faut avouer que l'ambiance n'est plus la même depuis longtemps. Depuis le début des gestes barrières et des mesures sanitaires, cela n'a fait qu'amplifier le phénomène », nous confie-t-il. Heureusement pour le seul commerce du village, qui fait aussi office de multi-services, le bar ne représente pas l'essentiel des revenus. D'autres établissements ont du mal à quantifier l'impact et redoutent le départ des touristes dont la majorité est vaccinée. Cafetiers et restaurateurs ont constaté peu de contrôles, quelques commerces d'Olonzac en on subit mardi 17 août, jour de marché, ainsi qu'à La Caunette. Les clients étant en règle, aucune amende à déplorer.

Chute drastique de la fréquentation dans les cinémas

Cinem'Aude, l'association qui anime depuis plus de trente ans un réseau de diffusion cinématographique à travers tout le département de l’Aude avec quinze salles conventionnées dans nos villages, accuse une chute de fréquentation de 70%, particulièrement sur la Haute-Vallée de l'Aude. Son directeur, Fabrice Caparos, entame une négociation auprès de l'Etat afin d'obtenir une compensation. A Carcassonne, le CGR Le Colisée déplore une baisse de 40 à 50%. Pour Maïté Castres directrice, « l’été en général et surtout le mois d’août n’est pas propice à la fréquentation Art & Essai, mais il devrait y avoir beaucoup plus de monde avec les films que nous avons à l’affiche. Mais là, les réticents au pass ne veulent pas venir par conviction. Il y en a qui nous ont donné rendez-vous au 15 novembre (date à laquelle on est censé ne plus le demander) », nous confie-t-elle. « Les films qui sont proposés à l’affiche du Colisée, vu leur notoriété, devraient faire un nombre d’entrées deux fois supérieur en temps normal » ajoute t-elle. Même une modification des tarifs ne serait pas une motivation supplémentaire pour attirer la clientèle réticente au pass sanitaire, les tarifs étant déjà bas et la clientèle habituelle possède une carte d'abonnement.

Le ministre de la Santé Olivier Véran, a évoqué une éventuelle prolongation de l'obligation de présenter un pass sanitaire après le 15 novembre ce qui pourrait rallonger encore cette période difficile pour les salles obscures. « Notre direction générale nous donnera peut-être une marche à suivre. D’ici là notre clientèle, si elle campe toujours sur ces positions, ne reviendra pas encore. J’espère bien pour le bien-être et le confort de tout le monde que le 15 novembre sera le dernier jour de ces mesures restrictives », conclue t-elle. Pour le CGR de Carcassonne la baisse est de 60%, quant à Narbonne, elle est selon son directeur, Cédric Fayolle, « en dents de scie. De 70% au lendemain de l'annonce présidentielle, on va terminer l'été avec une chute de 35 à 45% de fréquentation. Il y a l'effet pass mais également l'absence de gros films du à la crise sanitaire. Heureusement les distributeurs de films français ont joué le jeu, nous avons fait de belles journées avec des films comme Kaamelott et OSS 117. On nous a mis des bâtons dans les roues mais on ne s'en sort pas trop mal, nous avons été bons, très réactifs. Même s'il n'a pas toujours été facile de faire passer le message auprès des spectateurs ». En ce qui concerne les contrôles, aucun cinéma n'en a subit. Cédric Fayolle, directeur du CGR Narbonne, les avait devancés en présentant aux forces de l'ordre, les dispositifs mis en place, « je ne prendrai jamais le risque de faire fermer mon cinéma », conclue-t-il.

Tristan Geoffroy et Lydie Rech

Classé sous :Actualités Balisé avec :bars, cafés, cinémas, economie, impacts, pass sanitaire, restaurants, théatres

Chronique au fil de l’eau : quand une femme valait trois fois moins qu’un homme

10 mars 2021 By Redaction

Qu’elle soit galante héritière des premières précieuses, raffinée et intellectuelle salonnière ou honnête bourgeoise, bonne chrétienne, qu’elle soit encore le piller nourricier et besogneux des roturiers ou du petit peuple, porteuse d’eau ou de cailloux, qu’elle soit peut-être une belle gueuse que l’on court ou alors cette fille de joie tarifée… A toutes ces « sorcières comme les autres », et en l’approche de cette prochaine « journée internationale des droits des femmes », cette chronique leur est dédiée.

Sur le vaste chantier d’un homme pressé

Riquet veut tenir ses engagements auprès du roi et de Colbert. Il a promis de réaliser son grand œuvre dans les délais impartis, c’est-à-dire en huit années et donc quasiment « au pas de charge ». Dès qu’il est adjudicataire des travaux et qu’il peut se lancer dans l’aventure, il organise très vite le travail et le répartit en différents chantiers. Fin 1666 il occupe déjà mille sept cents ouvriers et début de l’année suivante il dépasse les deux mille. « Tous les jours j’augmente le nombre » dit-il. Alors que fin 1669 Toulouse et Naurouze sont réunis, ce sont déjà huit mille « têtes » qui ont été mis à l’ouvrage, près de mille d’entre eux étaient des femmes. Au plus intense de l’entreprise, ils seront jusqu’à 12 000 terrassiers.

Embaucher d’honnêtes et pieuses dames

Alors que la majorité des travailleurs provient des exploitations agricoles à proximité du futur canal des deux mers, notre entrepreneur royal se retrouve devant une pénurie d’effectif. La situation est particulièrement critique lorsque vient la fin de l’été, que les blés sont à couper, les vignes à vendanger et les semailles à effectuer. Irritant quelque peu les propriétaires ruraux qui offrent des salaires plus bas, Il recrute pourtant à tout va. Sur des affiches placardées aux endroits de rassemblement, sur les places où se déroulent les marchés et les « loues » (criée de l’embauche), il annonce les conditions. Et il veut également toucher la main-d’œuvre féminine. Il lui faut du personnel en suffisance. Comme les premières qualités alors demandées à la femme sont d’être honnête et bonne chrétienne, suivant les principes vertueux de cette chère modestie, Riquet s’adresse donc aux curés. Ceux-ci introduiront ses alléchantes propositions dans leurs prêches et sermons, lui apportant ainsi un appui influent auprès d’un auditoire affable et crédule.

Économie et avancement avec les femmes

La démarche est judicieuse et, dans une lettre, Riquet explique ainsi à Colbert « Ce me sera une économie et un avancement de besogne de me servir des femmes pour le transport des terres avec paniers. Travaillant à forfait, elles feront autant de travail que les hommes qui travaillent à la journée. Il ne m’en coûtera pas tant et je verrai plus tôt la fin de mon entreprise ». Il paye en effet 8 à 10 sols par jour (il débuta même jusqu’à 20 sols avant d’avoir quelques remontrances, des propriétaires, des bourgeois et même des évêques) soit 10 livres par mois (environ 25 €/ms) et ce salaire est défini par « tête ». Or si un homme vaut une tête, il faut trois femmes pour l’équivalent. Et les finances de notre bon Pierre-Paul Riquet s’en trouvent fort aise, les femmes coûtent ainsi trois fois moins cher que les hommes!

Véronique Herman

Classé sous :Actualités Balisé avec :canal, economie, femmes, histoire, Riquet

La Région au chevet de l’économie occitane pour sa survie et sa relance

25 novembre 2020 By Redaction

Lors d'une conférence de presse, vendredi 13 novembre dernier, Carole Delga accompagnée d'Alain di Crescenzo, président de la CCI Occitanie (Chambre du commerce et de l'industrie) ont présenté les prochains jalons du programme de soutien aux entrepreneurs.

Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, Pyrénées-Méditerranée à son bureau

« Il y a deux temps : survivre à la crise et préparer la relance» confie Carole Delga (PS), présidente du conseil régional. « Il faut agir avec des aides d’urgence, et avec une assistance pour permettre de transformer notre économie. »  ajoute t-elle. Alors que le gouvernement impose la fermeture de tous les petits commerces dits « non essentiels », pour Alain di Crescenzo, il faudrait peut-être regarder, selon lui, les modèles allemands et catalans qui consistent à réduire les activités des grandes surfaces tout en supportant et en laissant ouvert les petits commerces.

C'est en effet un des objectifs que s'est fixé la plate-forme « Dans Ma Zone » (pieds de nez à Amazon dont on sait que les ventes s'envolent mais que la contribution aux impôts est toujours aussi ridicule). Ce site, colligeant pour l'instant les produits et activités de plus de 1800 commerçants, cherche à offrir aux habitants de la région une source fiable d'informations les poussant à consommer proche de chez eux. Cette plate forme « mère de cet effort » destiné aux producteurs et consommateurs de l'Occitanie, ne se veut pas seulement temporaire, mais veut durer dans le temps avec une réelle volonté de dynamiser et favoriser la vente en ligne locale. Même si le site Internet ne permet pas encore d'acheter directement chez un commerçant (certains d'entre eux ne sont en effet pas encore prêts à adopter ce mode de vente impliquant la mise en place d'un site dédié, des moyens de paiement virtualisés et des livraisons). Devis, prix, échanges directs entre consommateurs et producteurs et listing de produits sont pour l'instant au menu. Les achats directement sur le site représente la prochaine évolution du programme.

Après la mise en place d'un numéro unique afin de synthétiser l'information et offrir aux citoyens un guichet unique, c'est désormais au tour des services de la Région d'aller au contact. Avec une campagne d'appels « sortants » la Région cherche à informer toujours plus, présenter et expliquer les outils mis en place et notamment les diagnostics destinés à mettre en place la vente en ligne de type « Click and Collect » par exemple.

Pour Alain di Crescenzo, Président de la CCI Occitanie, il est « fondamental d'aller très vite » en offrant un support financier mais aussi psychologique aux entrepreneurs. En effet, la Région offre aussi un soutien à la consommation pour les ménages les plus pauvres avec des aides pouvant monter à 300 euros par foyer et une aide au loyer jusqu’à 1.000 euros. Il ajoute : « l'économie n'est pas uniquement l'affaire des spécialistes mais de tout le monde. » Les commerçants seront aussi concernés par ces aides au loyer. En partenariat avec les intercommunalités et les chambres consulaires, 26.000 commerces indépendants (jusqu’à 10 salariés), faisant actuellement l’objet d’une fermeture administrative, pourront bénéficier dès le 27 novembre de la prise en charge d’un mois de loyer, jusqu’à 1.000 euros. « Cette aide sera versée rapidement, dans les 30 jours », note Carole Delga. Cela représente, pour la région, un effort de 20 millions d’euros. Par ailleurs, le remboursement des avances pour les besoins de trésorerie promis par la Région, dans la limite de 25.000 euros, est différé à 24 mois.

Plus d'informations sur :

hubentreprendre.laregion.fr 

Tel : 0.800.31.31.01.

Classé sous :Actualités Balisé avec :Alain di Crescenzo, campagne, CCI Occitanie, economie, finance, région, support

Minerve : les commerces ouvrent, les rues sont vides

25 mai 2020 By Redaction

La librairie et son libraire

Minerve, comme les autres villages Français, a été déconfiné le 11 mai. Sa particularité est d’être un site touristique et ses principaux acteurs économiques sont les vignerons qui ont leur caveau de vente au public dans le village ou sur le hameau de Mayranne, les producteurs locaux des hameaux de Vieulac et de Bois-Bas (fromages) les boutiques d’art, d’artisanat, la librairie, les restaurants, la crêperie, les bars, les commerçants et producteurs de denrées locales (huile d’olive…) les gîtes et l’hôtel. Les boutiques ont rouvert. Tous les commerçants, sans exception, contribuent au respect des gestes barrières, prenant ainsi soin d’eux mêmes et des visiteurs. Ces derniers devront se laver les mains avec le gel hydro alcoolique mis à disposition à l’entrée de chaque magasin. Un panonceau à l’entrée des boutiques indique les consignes à respecter, (nombre maximum de personnes suivant la surface, distance entre personnes à respecter …)

Les commerçants sont équipés d’un masque ou d’une visière, certains comme l’atelier des 3F exigent des visiteurs le port d’un masque, ou d’un foulard. Ils désinfecteront l’appareil de télépaiement entre chaque client. Certains d’entre eux se sont munis d’un appareil sans contact. Des séparations en plexiglas protégeront clients et commerçants dans certaines boutiques. Les denrées alimentaires à emporter bénéficieront d’une stricte manipulation. Aujourd’hui, le 15 mai, les rues sont vides et les acteurs économiques s’adaptent à la situation, avec résignation et inquiétude.

 

Informations:

Coordonnées et horaires des commerçants pendant cette période transitoire. Il ne faut pas hésiter à leur téléphoner pour plus de précisions.

Librairie-salon de thé Paroli, boissons à emporter, rue des Martyrs : Ouvert tous les jours de 11h00 à 18h00, horaires qui évolueront suivant la fréquentation. Contact 0699140155

Caveau Château de Minerve, rue des Martyrs : Sur rendez vous ou en livraison. Contact 0685097897

Caveau Vordy, hameau de Mayranne : Ouvert. Contact 0468324152

Caveau Cavaillès, grand rue. Ouvert tous les après midi jusqu’au 31 mai, puis matin et après midi à partir du 1er juin. Contact 0671876408.

Caveau le Boucard, grand rue, ouvert. Contact 0468912363

Caveau Tailhades, rue de la tour, ouvert. Contact 0688433455

Boutique les trésors de Shanna, rue de la tour : Ouverture adaptée à la fréquentation ou sur rendez-vous. Contact 0658281388

Boutique Ateliers de Minerve, Severac/Gresle, Grand rue. Ouvert. Contact 0678505920

Boutique Sur la route des Senteurs, Grand rue. Ouvert contact 0619669119

Boutique l’atelier des 3F, rue des martyrs. Ouvert contact 0952293535

Chocobar : (bar et restauration rapide) La réouverture se fait dans un premier temps sur la partie boutique, la vente de boisson et une restauration rapide à emporter. 0640408853

D’Âme crêpe, rue des Martyrs doit ouvrir pour le week end de l’ascension avec des crêpes à emporter. Contact 0621472307

La forge d’Alijo rue de la tour, glacier-restauration rapide à emporter ouvrira pour le week-end de l’ascension. Contact 0685249465

L’arbre à soleil, grand rue, glacier et produits du terroir ouvrira début juin. Contact 0677562552

Boutique Aldéhone, grand rue (nouvelle boutique) ouvert. Contact 0683294939

L’Atelier d’art, vente de minéraux Lafitte Pechanne : Ouverture adaptée à la fréquentation ou sur rendez vous. Contact 0674384753

Ferme de Vieulac : contact 0980083006

Ferme de bois-bas. Contact 0467239477

Le musée Hurepel, rue des Martyrs sera ouvert à la fin du mois de mai : Contact 0695663157

Le musée d’archéologie et de paléontologie, place du monument, est ouvert. Contact mairie 0468912292

L’office de tourisme, en télétravail à ce jour, est joignable au 0467970665 (siège social), 0468918143 (Minerve) ou tourisme@minervois-caroux.com

La bibliothèque est ouverte le mercredi de 18h30 à 20h Contact 0674384753.

Le parking de l’aire du Bouis devrait rester libre jusqu’à la fin du mois de mai. La mairie réfléchit sur la façon dont elle pourrait gérer un flux de visiteurs trop important, ce qui n’est pas le cas à ce jour.

Les restaurants, Le Chantovent, La Table des Troubadours, La Terrasse, Aux 2 rivières, Le Café de la Place, seront ouverts lorsque la législation le permettra. Il en sera de même pour les gites, Les Aliberts, Mayranne, etc.

Classé sous :Actualités Balisé avec :commerçants, covid-19, déconfinement, economie, minerve

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