La Semaine du Minervois

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Music’ Chronic’ : Trio Loubely, une invitation à la danse

12 novembre 2020 By Redaction

Né de la rencontre entre trois musiciens/compositeurs, le Trio Loubelya a vu le jour au printemps 2011. À l'origine, Marie Constant à l'accordéon diatonique ; autodidacte, elle a beaucoup appris avec des stages auprès de grands noms du piano à bretelles et en écumant les festivals de musiques et danses traditionnelles du continent. Enseignante au Conservatoire Occitan de Toulouse, puis à l'école Salamandre jusqu'en 2018, Marie poursuit son chemin tout en prônant sa passion des voyages, des langues et des peuples… À ses côtés depuis le début de l'aventure, Rolland Martinez (Les Madeleines, Dalele, Rollive and Swing,… ) est à la contrebasse et à la clarinette ; il puise son inspiration dans un riche panel de sons allant du trad' au rock, en passant par le swing et bien d'autres genres… Depuis 2014, Florent Lalet (Les Madeleines, ex L'Herbe Folle,… ) remplace Camille Passeri (trompette) et complète le trio en apportant son jeu fin et subtil aux saxophones. De là, le Trio Loubelya a sillonné les routes et scènes de France, d'Italie, du Portugal, des Açores, de Belgique,… en diffusant joie et émotions à travers rondeaux, valses, mazurkas et autres notes trad'actuelles… Après "Sogni d'Oro" (2013) et "Rua da Alegria" (2017), ils reviennent avec un nouvel opus qui nous prouve qu'ils sont toujours bien "vivants", comme le signifie ce nom de Loubelya.

Nouveau voyage : dans une "Bulle" !

Le troisième album de Trio Loubelya vient de sortir sous le nom de "Bulle" ; riche de onze morceaux, cette bulle est en fait une bouffée d'oxygène ! On y entre volontiers et se laisse transporter de piste en piste... Les trois artistes se parlent avec leurs instruments et les mélodies s'enchaînent dans une harmonie ponctuée de somptueux phrasés respectifs. Mais "Bulle" est aussi un partage avec nombre d'invités sur ce CD. Après deux douceurs du trio, déboule une "Mazurka Tropicoule" (avec violon, hélicon, trompette et batterie en sus) qui vous mène au cœur d'une fanfare digne des Balkans. Puis, on se retrouve dans un "Rondeau rêve" relevé par une rythmique jazz/groovy à la batterie, ou un "Andromac" aux sonorités celtiques, soutenu d'un étonnant beat box/synthé. Florent partage aussi magnifiquement le chant en duo avec Juliette sur "La Gamberge" (Jean Yanne) et Lolita dans "Un chat que j'ai apprivoisé", les deux titres chantés de l'album. Côté musical, on notera la présence supplémentaire du quatuor Pulcinella sur le scottish "Leo", un morceau qui ne peut pas vous laisser de glace ! Bref, n'hésitez pas et foncez dans cette "Bulle" pour entrer dans la danse de Trio Loubelya.

Pour commander l'album, agenda, vidéos, contacts… rendez-vous sur http://loubelya.com

Fan Leclerc

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Music’ Chronic’ : L’Impasse Humaniste du rock psyché par excellence

5 novembre 2020 By Redaction

Fondé en 2007 dans les contrées perpignanaises sous la houlette de Laurent Sales, L'Impasse Humaniste se veut être une référence dans le monde de la musique rock psychédélique, mais ce n'est pas pour autant qu'ils s'attachent à un style. S'exprimant déjà dans un univers bien personnel dès ses débuts, le groupe s'est d'abord vu catalogué dans la noisy pop expérimentale. Définis ensemble comme un OMNI (Objet Musical Non Identifié), les quatre membres n'en restent pas là dans la création et décident en 2010 d'ajouter une touche visuelle à leur spectacle avec la venue d'un Vidéo-Jockey en la personne de VjSkuc. Une interaction supplémentaire avec leur public qui, en sus d'un concert, se voit gratifié d'une projection d'images abstraites et figuratives, se mariant parfaitement aux mélodies débordantes d'imagination des musiciens. Les arts se croisent et s'entremêlent pour vous laisser transporter dans un monde planant, aérien, cotonneux à souhait, laissant parfois surgir une puissance riche en rythmiques. Riche d'un premier album "Émotion is confusion" (2012), un EP 45 tours (2013) et d'un DVD (2014), L'Impasse Humaniste se fait vite remarquer et écume alors les scènes. Suivra un cinq titres sorti en numérique : "Le train" ; un train qui amènera le quatuor vers de nouvelles compositions et, après plus de quatre années de travail assidu, "Ultra Pop" vient de voir le jour en CD et vinyle. (pressages limités à 300 ex. de chaque)

"Ultra Pop" : une soucoupe venue d'ailleurs

Le nouvel album "Ultra Pop" est là, composé de neuf titres. Aux côtés de Laurent, chanteur et pluri-instrumentiste (guitare, piano, banjo, bouzouki,…), on trouve Clément Ternisien (basse, accordéon, clavier, chant), Philippe Argeles (clavier, synthétiseur analogique) et Céline Douineau (batterie) qui apporte la touche féminine au noyau du groupe. Pour l'enregistrement de cet opus, L'Impasse Humaniste s'est enrichi de nombreuses participations et ainsi, le résultat est somptueux avec des morceaux ponctués d'un ensemble à cordes ou encore d'une section cuivre. "Where do you come from ?" en ouverture nous met directement dans le bain avec une sonorité très seventies, quelques effets posés avec mesure sur les phrasés musicaux comme sur ce duo de voix qui l'interprète. "Gettin better" ou "Wisdom" ont un penchant plus ballade pop ; "Tastesound" présente des passages avec certaines distorsions, une rythmique plus soutenue et appuyée de riffs de guitare et des soupçons d'orgue Hammond. Violoncelle, xylophone, trompette… alternent et complètent aussi le reste du répertoire ; "Ultra Pop", titre éponyme, en est la signature absolue avec une multitude de sons, avant de conclure sur "A night in Buenos Aires" où l'accordéon n'est pas s'en rappeler les fameux tangos de Piazzolla, toutefois tendance electro. Toutes les informations du groupe sur https://limpassehumaniste-45.webself.net ou facebook.com/limpassehumaniste 

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Music’ Chronic’ : Djé Balèti, une espina chamanique qui envoie !

15 octobre 2020 By Redaction

Créé en 2010 sous la houlette de Jérémy Couraut, Djé Balèti est un trio comme nul autre. En effet, car après une première expérience en chanson française, Jérémy n'est pas conquis et se cherche un idéal musical. Chose qu'il trouvera lors de la découverte d'un instrument qu'il a fait revivre : l'espina, instrument à cordes allongé au corps de calebasse, qu'un luthier confectionnera à sa demande et qu'il électrifiera lui-même. Un son bien à part, restait à trouver le style. Puisant dans ses origines, la base est là avec un mix de sons méditerranéens et caribéens. Mais Djé Balèti, c'est bien plus que ça ! Sous une formule espina, basse (Menad Moussaoui), batterie (Antoine Perdriolle), les rythmes sont variés, les mélodies diverses, oscillant de l'afro au punk/metal, du blues à la transe ou de l'oriental au latino, on se fait vite exorciser par cette musique démoniaque… Sur des textes et compositions de Jérémy, les trois complices ne manquent pas d'apporter respectivement leur touche personnelle dans les arrangements. Avec un parcours scénique international, un premier album éponyme sorti en 2014, "Moko" en 2016, Djé Balèti poursuit son chemin en nous offrant "Pantaï", un troisième opus marquant les 10 ans du groupe et qui nous booste à danser tous ensemble encore et encore…

Quand le rêve peut être réalité…

Sorti numériquement en mai dernier, le nouvel album “Pantaï” sort physiquement ce 16 octobre. Riche de douze morceaux, “Pantaï”, qui signifie “rêve” en nissart, nous en laisse une part belle : le rêve d'un monde meilleur dans le respect du “vivre ensemble”. Avec le “Sortilège”, le message est clair d'entrée ; sous un air rappelant la période musicale de cette Afrique en or et du Maître Gazonga et ses jaloux saboteurs, Djé Balèti transmet cette joie qui doit triompher. “Romantica” suit dans un élan bien plus puissant, un rock qui déménage et frôle la saturation tout comme dans “Santa Mounina” ou “Tenacitat”, sans pour autant négliger la distorsion finement adaptée sur les riffs d'espina, dignes de faire crier une Strato. Bien que d'autres pistes telles que “La dorée” ou “Fin de carneval” soient bien plus cools musicalement, elles n'en délivrent pas moins cette mission d'humanité que nous avons tous. En français comme en occitan, les textes de Djé Balèti invoquent parfois la mythologie, mais aussi et surtout les êtres que nous sommes, à aimer et partager avec l'autre… Chantons à l'unisson le titre “Fou” pour soigner nos gouverneurs et comme cette Méditerranée évoquée telle une porte dans “Peis-can”, ouvrons la nôtre et faisons tout pour qu'elle soit celle du bonheur ! Pour suivre cette idéologie pleine d'espoir, commandez vite “Pantaï” et retrouvez toutes les infos, sons, vidéos, dates… sur www.dje-baleti.com

Fan Leclerc

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Music’ Chronic’ : Across the river, en ballades sur les rives de la folk…

8 octobre 2020 By Redaction

Fondé à l'été 2018, Across the River est un duo de pure folk. C'est la rencontre entre deux passionnés de ce style qui, grâce à leurs talents respectifs, ressortent une qualité musicale digne des plus grands noms du genre. Pour cet énième projet, Marc Raynaud, que l'on connait aussi en tant que chanteur/guitariste des groupes Nashville Cats, Truck Stop Rules, Cadillac Slim ou encore Arkansas Travellers, voir en solo avec Broken Man, est accompagné par l'excellent guitariste Pascal Corriu. Ces deux artistes ont de sacrées références derrière eux. Pour Marc, on peut citer de nombreux passages dans la célèbre émission WRTL Country du légendaire animateur Georges Lang sur RTL, mais aussi une multitude de grands festivals avec, entre autres, des premières parties d'Albert Lee, Rhonda Vincent… Quant à Pascal, il est diplômé du Guitar Institute of Technology de Los Angeles (en 1987) où il a étudié auprès de Robben Ford, Scott Henderson, Joe Diorio… (rien que ça !) et il a également écumé de longues tournées européennes et une quantité d'émissions télévisées avec le groupe Cargo de Nuit. Reconnu pour son jeu fin et subtil, ce dernier est considéré comme l'un des plus grands joueurs de blues du Sud de la France.

ACROSS THE RIVER
En ballades sur les rives de la folk… Le premier album éponyme est sorti. C'est en début d'année 2020 qu'est sorti le premier album éponyme d'Across the River, un CD contenant neuf compositions. "Black Angel" en ouverture est d'une douceur qui fond à plaisir dans les tympans ;  "Can somebody help me" suit sur un tempo un peu plus soutenu, avant de revenir sur "How far can I go", une autre ballade dans laquelle on peut apprécier les descentes de gammes de Pascal à la guitare. On en redemande et en prend encore avec "Again" et "Guilty", les titres  suivants où il pose ses notes clinquantes de pureté sur les mélodies de Marc à la guitare acoustique. Les autres morceaux restent dans la même lignée, une rythmique résolument folk, parfois teintée de fonds bluesy, jazzy où les riffs aériens alternent avec le chant et la voix chaude et envoûtante de Marc. "Across the River" est un opus de haute qualité, qui joue avec les sons et les émotions. Un voyage "in America" saisissant qui apporte de doux frissons de bonheur. "We are one" en conclusion, reflète parfaitement ce duo tant ces deux musiciens  s'unissent à merveille. Prochain concert prévu le samedi 7 novembre à 17h à la médiathèque Montaigne de Frontignan. (sous réserve cause Covid).

Toutes les infos, sons et vidéos sur https://acrosstheriver000.wixsite.com/acrosstheriver ou facebook.com/Acrossthe-river

Fan Leclerc

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Music’ Chronic’ : Camille Sol, un rock kaléidoscopique

1 octobre 2020 By Redaction

Tout a commencé en 2005 par la rencontre du chanteur/guitariste Franck Gilet et du bassiste Gilles Marco. Ces deux artistes expérimentés travaillent alors sur les textes et compositions de Franck ; un répertoire qu'ils créent en apportant respectivement leur touche personnelle afin d'en sortir un style plutôt original. Une autre authenticité de Camille Sol est sans nul doute la présence d'un violoncelle, instrument rare dans ce genre musical, admirablement joué par Marie Gisclard. Un premier album éponyme en sort, suivi d'un DVD en 2006, puis de l'opus "Sous ma cellophane" en 2007. La bande s'agrandie en 2013 avec l'arrivée d'un batteur en la personne de Nicolas Michelin et avec Guillaume Blanc qui reprend la basse en 2014 ; c'est donc sous cette nouvelle formule en quatuor que l'aventure se poursuit et le troisième opus "Corbeaux blancs" en marque le coup en 2015. Dix ans passés, Camille Sol présente un CV scénique assez exceptionnel avec, entre autres, des premières parties de Shaka Ponk, Lo'Jo, Les Ogres de Barback, Jacques Higelin, CharlÉlie Couture, Olivia Ruiz, Superbus… foulant par la même occasion les planches de La Boule Noire à Paris, du Zénith de Toulouse, du Printemps de Bourges, du Festival de Carcassonne, du Printival, de La Cigalière et j'en passe… Cependant, ce n'est pas pour autant que les quatre complices vont se reposer ; bien au contraire, ils poursuivent un travail assidu et acharné, écrivent, composent et arrangent à cette sauce rock bien à part qui est la leur. Un rock dans lequel se mêlent des ambiances pop, folk, classique, voir même electro…

"Euroschizo" : le 4ème album va sortir

Il a fallu attendre cinq ans pour voir venir une nouvelle galette de Camille Sol. Mais lorsqu'on voit et surtout écoute le résultat, on se dit que ça valait ce temps d'attente. Car en effet, là avec "Euroschizo" qui sort ce 28 septembre, on se retrouve avec un album contenant dix-huit titres ! Pour ne pas dire presque l'équivalent d'un double... Autant de morceaux dans lesquels on note toujours la signature de ce rock si spécial, si unique, qui fait pourtant penser à plein d'autres mais sans pouvoir cataloguer Camille Sol dans un style. Chantés en français, certains laissent entrevoir un soupçon de Noir Désir, d'Ange ou de Gainsbourg ; d'autres interprétés en anglais peuvent faire penser aux Doors et bien d'autres… Mais que nenni et c'est bien là ce qui fait plaisir à entendre : un rock de qualité avec des textes ciselés, légers ou révoltés, agréablement posés sur la voix de Franck, juste et puissante à la fois. Musicalement, rien à redire, si ce n'est que c'est aussi travaillé à la perfection, le violoncelle de Marie est à sa place entre les riffs de guitare de Franck et les rythmiques percussives de Nicolas. On notera également la présence de Thomas Michelin qui marie merveilleusement son accordéon dans des titres comme "Tic Tac" ou "Estoy Loco", ainsi que celle de Guillaume Honoré à la contrebasse sur "Blood sample", plus les "Escalopes" (Gaëlle, Myriam… ) aux chœurs qui viennent enrichir le tout. "Euroschizo" est à se procurer absolument !

N'hésitez pas plus longtemps et allez vite sur http://camille-sol.wix.com/camillesol pour le commander.

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