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Villeneuve : témoigner pour laisser des traces du passé

3 février 2021 By Redaction

Une partie du collectif de pilotage, de g. à d. : Guy Cano, Daniel Gros, Christine Debaisieux, Yannick Séguier et Alain Giniès

Le 20 janvier, un collectif de pilotage géré par Christine Debaisieux et Mickaël Abrial se réunissait à la mairie de Villeneuve-Minervois. Il a pour but la réalisation d’un film par Yannick Séguier, auteur, réalisateur et metteur en scène. Son titre pourrait être « La vie d’avant » et aura pour thème : « La vie se raconte à travers la mémoire de vie ». Il devrait durer de 45 à 60 minutes et être présenté cet été. Une quinzaine de sujets pourraient être abordés, tels que la vie quotidienne du village, les harkis, l’école ou la vie des femmes dans le passé. L’idée du film part du constat que notre monde contemporain va très vite, que les mémoires locales et familiales se délitent et se perdent. Le but de ce film est donc de capter la mémoire au travers de témoignages et de tisser un lien intergénérationnel collectif, local et familial qui intégrera plus fortement les jeunes générations.

 

 

Classé sous :Brèves Balisé avec :film, histoire, patrimoine, villeneuve

Un rendez-vous documentaire et débat en ligne ce jeudi : « Les mamans, les bébés et les toubibs »

17 novembre 2020 By Redaction

Dans le cadre de la semaine internationale de la culture, Valérie Dumontet, Vice-présidente du Département en charge de la démocratie et participation citoyenne, a programmé le  film "Les mamans, les bébés et les toubibs" dans sa version long métrage suivi d'un débat sur la plateforme Zoom.

Le programme :

Jeudi 19 novembre à 20h, accueil des agents et partenaires du département en 3 temps :

  • De 20h00 à 2010 : accueil présentation de la démarche et du film par Valérie Dumontet. Ce temps se fera sur la plateforme zoom (voir lien ci-après)
  • De 20H10 à 21h14 : visionnement du film à l’adresse suivante https://vimeo.com/467259067 , code d'accès : cebeliat
  • De 21H14 à 21h45 : échanges et débats en présence de Valérie Dumontet, Vice-présidente du Département, Claude Pfaffmann (réalisateur) et Ousseni Sako (danseur dans le film) sur la plateforme Zoom

Le Département de l'Aude vous invite à une réunion Zoom sur le thème du documentaire :

Sujet : Diffusion et échanges autour du film de Claude Pfaffmann

Heure : le jeudi 19 novembre 2020 à 20h00

Adresse : https://zoom.us/j/96565753999?pwd=NS9oT0ZLcC8zMW5GOStOM3Zsc0lxUT09

ID de réunion : 965 6575 3999

Code secret : 068516

Résumé du film:

Onze médecins généralistes, deux kinésithérapeutes et un psychologue sont allés étudier la petite enfance au Burkina Faso. En immersion, par petits groupes, dans les familles, ils ont observé les différences entre nos pratiques occidentales et celles du Pays des hommes intègres, la relation mère-enfant, la prise en charge de la petite enfance par le groupe familial et social, et le développement psychomoteur des enfants. Afin d'avoir un ressenti plus empathique, ils ont participé à des ateliers de danse Afro contemporaine pour qu'ils puissent s'interroger sur le lien qui existe entre le corps et le mouvement. Des ateliers de contes ont été organisés pour qu'ils puissent prendre conscience du développement de l'imaginaire, du langage et de la cosmogonie de ces enfants.

C'est un film qui devrait intéresser toutes les mamans, les futures mamans et les papas qui s'intéressent aux enfants. En cette période de confinement où la culture a été mise au placard.

Classé sous :Brèves Balisé avec :documentaire, film, les bébés, les mamans, les toubibs, zoom

Chronic’ Ciné : Adieu les cons, entre causticité, tendresse et mélancolie

12 novembre 2020 By Redaction

Et voilà que le sieur COVID nous contraint, en cet automne, à un remake du printemps mais, cette fois votre chroniqueur ne baisse pas les bras. Nous allons vous parler de films dont la sortie était annoncée et qui émergeront après confinement ou de quelques œuvres glanées en ligne ou programmées à la télé. Le tout suivant l’humeur du moment. Gardons le moral !

France 2019

Réalisation : Albert Dupontel

Durée : 1 H 27

Avec : Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas MARIÉ, Jackie Berroyer

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans. Voici un regard amusé et critique sur le monde dans lequel nous vivons. C’est une tragédie burlesque qui fait se rencontrer deux désespoirs : Une coiffeuse condamnée par une maladie professionnelle et un informaticien qui blesse gravement un de ses collègues en tentant de se suicider. Le propos est grave mais le spectateur voyage en même temps dans l’absurde. Nos deux personnages sont assistés des facéties d’un espèce de bougre peu commun, un ancien employé de l’EDF devenu aveugle suite à une bavure policière et recasé car « ça se fait entre ministères », chargé aux archives des dossiers d’accouchement sous X. Cela nous vaut une interprétation énergique et inventive de Nicolas Marié. Ces trois là vont vite se retrouver embarqués dans une série de quiproquos qui les dépassent. Notre spectateur va donc voyager avec eux dans un humour débridé sans omettre toutefois les thèmes qui caractérisent la société actuelle. L’intégration sociale, l’amour, la paternité, la dépression, le dépassement de soi, la police, les entreprises du CAC40, la souffrance au travail, l’aseptisation des villes nouvelles, l’addiction au portable et à l’informatique…Tout cela défile à un rythme effréné agrémenté d’absurdités qui nous renvoient au faits qui constituent notre vie réelle. Chaplin et ses « temps modernes » ne sont pas loin. La tendresse et l’émotion y sont également présentes. C’est le moment d’évoquer ici cette Suze Trappet, coiffeuse condamnée pour avoir utilisé trop de laque et qui « meurt d’un excès de permanente ». Elle est d’une grande sensibilité, d’une fragilité qu’elle ne peut cacher et qui se traduit aussi par ses vêtements dont elle ne change jamais. Sa jupe droite noire et des petits talons révèlent une sorte de féminité typée genre BD. Cela lui donne une démarche qui empêche les grandes enjambées sans qu’il y ait la moindre volonté de séduction. Virginie Efira, au sommet de son art, nous en livre une interprétation qui ne peut cacher qu’elle aime voir son corps exister à l’écran en utilisant la démarche de son personnage. Rien à jeter dans sa palette d’actrice pleine de justesse.

Jean Segonne

Classé sous :Actualités Balisé avec :Adieu les cons, chronic' Ciné, cinéma, critique, film, jean segonne

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