La Semaine du Minervois

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Haut-Minervois : la police pluricommunale informe

14 juin 2022 By Redaction

Fin mai, les deux agents de la police pluricommunale du Haut-Minervois se sont rendus dans plusieurs écoles élémentaires afin d’informer les enfants sur les dangers de la route et ceux qui peuvent venir d’Internet.

“Sécurité routière, tous responsables”, tel était la leçon dispensée à Peyriac © D. Storaï

Lundi 23 mai, dans la cour de récréation de Peyriac, les policiers se sont adressés aux élèves de grande section (GS) et du cours préparatoire (CP), en présence de leurs professeurs et de la maire Denise Gils venue avec ses adjoints. À l’aide de différents supports (kakémonos, affiches), le chef Christophe Pajot et la brigadière Laure Lafargue leur ont prodigué des conseils pour bien se comporter sur la route en tant que piétons et, pour les grands en plus, en tant que cyclistes. Ces derniers ont également reçu un dépliant à montrer à leurs parents, rappelant des points essentiels : qu’il fallait être équipé pour être protégé en cas de chute et être prudent – respecter la signalisation, rouler à droite, etc. Cette matinée a été mise en place grâce à l’action conjointe de la police pluricommunale, du service sécurité routière de la préfecture qui a prêté le matériel pédagogique et équipé les GS d’un bracelet réfléchissant, ainsi que de la municipalité, qui a offert un casque de cycliste à chacun des CP, son port étant obligatoire pour les moins de 12 ans.

Le 24 mai à La Redorte

C’est dans leur classe que le chef Pajot a rencontré les élèves de CE1 et CE2 pour leur donner, toujours avec le concours logistique de la sécurité routière (dépliants, petit film, etc.), des conseils de prévention routière, parce que le vivre ensemble implique le dangereux partage de la route. Dans cet établissement, cet enseignement vise à préparer les écoliers au passage du permis piéton qui leur sera délivré d’ici quelques semaines. Dans le même temps mais dans une autre classe, la brigadière Lafargue a sensibilisé leurs ainés de CM1 et CM2 sur les risques liés à l'utilisation des écrans et d'Internet. La policière leur a, entre autres, rappelé que les réseaux sociaux sont interdits aux enfants de moins de 13 ans. Soutenues par la municipalité, ces leçons très utiles pour plus de sécurité au quotidien ont été autant appréciées des enfants que du corps enseignant.

D. S.

Classé sous :Actualités Balisé avec :CM1, Permis piéton, peyriac, pluricommunale, police, sécurité routière

Haut-Minervois : une nouvelle recrue pour la PPM

15 mars 2022 By Redaction

Dix communes se sont groupées pour mettre en place le “service de police pluri-communale du Minervois” (PPM). Cette initiative pourrait être suivie par d’autres communes du territoire envisageant de créer le même type de service.

De gauche à droite : la nouvelle recrue, la maire de Peyriac et le chef de service de la PPM

Jusqu’alors, Christophe Pajot assurait seul les missions confiées par les communes de Rieux (siège du service), Aigues-Vives, Azille, La Redorte, Laure, Pépieux, Peyriac, Saint-Frichoux, Trausse et Villeneuve. Toutefois, devant l’étendue du secteur, les municipalités ont décidé de lui adjoindre Laure Lafargue, brigadier chef principal. C’est un retour en Occitanie pour cette Montpelliéraine qui est forte d’une expérience de dix ans dans la Police nationale à Paris. Mercredi 2 mars, le chef de service Pajot a été reçu par la maire de Peyriac, Denise Gils, une délégation de sa municipalité et les secrétaires de mairie pour leur présenter la nouvelle recrue qui était entrée en fonction la veille. Tout en rappelant : “La PPM ne se substitue pas à la gendarmerie mais elle travaille avec elle dans une bonne entente*”, Mme Gils a précisé que “ses missions lui sont confiées ou doivent être validées par les élus”. La nouvelle policière a eu un aperçu des interventions qui l’attendaient lors d’un bilan succinct, par le chef Pajot, de celles qui ont été réalisées l’an passé.

“La PPM, une interface entre élus et contrevenants”

Les problèmes les plus fréquents sont les stationnements gênants ou interdits, la divagation et les déjections de chiens dans les espaces publics, les dépôts sauvages d’ordures, des problèmes d’urbanisme et la vitesse excessive des automobilistes dans les villages. Autant de soucis pour lesquels les maires sont de plus en plus agressés oralement voire, même, physiquement. En intervenant à leur place, la PPM leur sert en quelque sorte de paravent. Ce nombre croissant d’agressions et de vols de cartes bancaires “qui sont ensuite utilisées pour payer sans contact”, sortant des compétences de la PPM, est relayé à la gendarmerie. Enfin, le policier est intervenu dans des établissements scolaires pour y effectuer de la prévention routière, contre le harcèlement et les addictions à toutes les drogues, dont le protoxyde d’azote, de plus en plus en vogue chez les adolescents. L’entretien avec les élus peyriacois s’est achevé sur l’effet d’exemple que suscite la PPM du Minervois. Plusieurs autres communes, qui comptent s’en inspirer, ont d’ailleurs invité le chef Pajot à aller leur en présenter le mode de fonctionnement.

Texte et photo Danièle Storaï

* Les dix maires des communes concernées et la gendarmerie ont passé une convention de coordination établissant les domaines d’actions de chacune des parties.

Classé sous :Actualités Balisé avec :Aigues-Vives, azille, Haut-Minervois, la Redorte, laure, pepieux, peyriac, police, police pluri-communale, PPM, Saint-Frichoux, trausse, villeneuve

Haut Minervois : Christophe Pajot, policier intercommunal

29 novembre 2021 By Redaction

Dix communes – Azille, Aigues-Vives, La Redorte, Laure, Pépieux, Peyriac, Rieux, Saint-Frichoux, Trausse et Villeneuve – se sont unies pour mettre en place un service de police intercommunale

Christophe Pajot, chef de la police intercommunale

Depuis le mardi 2 novembre, l’adjudant-chef Christophe Pajot, âgé de 40 ans, jusqu’alors adjoint au commandant de l’escadron de gendarmerie mobile de Perpignan, a pris ses fonctions de chef de service de la police intercommunale. Avant son recrutement, chacune de ces dix communes a défini ses besoins, qui ne sont pas forcément les mêmes de l'une à l'autre, et les volumes horaires eux aussi disparates. Par exemple, à La Redorte, M. Pajot sera présent deux demi-journées : “Ce temps correspond aux besoins actuels pour accomplir une mission de police réactrice et de proximité”, précise le maire Christian Magro.

Sous l'autorité du maire, l'agent sera en charge de la prévention, de la sécurité et de la salubrité publique, de la lutte contre les incivilités et du respect des arrêtés municipaux. Si le dialogue et la prévention, qui seront d’abord privilégiés, ne portent pas leurs fruits, des verbalisations seront appliquées. Et au début de l’année prochaine, M. Pajot recevra le renfort d’un autre policier intercommunal. Trop d'incivilités sont liées au stationnement anarchique, aux “voitures ventouses”, aux déjections canines, aux dépôts de déchets hors des containers, aux nuisances sonores, aux règles de l'urbanisme et à la dégradation des relations sociales. Ce service à la population est complémentaire du conciliateur de justice, qui fait des permanences dans chaque commune pour résoudre certains litiges, et bien évidemment des missions de la gendarmerie.

Classé sous :Actualités Balisé avec :Christophe Pajot, Haut-Minervois, intercommunale, police

La Une de notre édition du 25 novembre 2021

25 novembre 2021 By Redaction

Classé sous :La Une de cette semaine Balisé avec :Collège Antoine Fauré, fusillé, gaspillage alimentaire, Haut-Minervois, peyriac, police

Chronique cinéma : Bac Nord, d’après une histoire vraie

26 août 2021 By Redaction

France 2020

Réalisation : Cédric Jimenez

Durée : 1 H 45

Avec : Gille Lellouche, Karim Leklou, Adèle Exarchopoulos

En 2012 des policiers marseillais sont accusés de trafic de drogue en bande organisée. La zone nord a le taux de criminalité le plus élevé de France. Poussée par sa hiérarchie, la BAC Nord, brigade de terrain, cherche sans cesse à améliorer ses résultats. Pour cela les flics adaptent leurs méthodes, franchissant parfois la ligne jaune. Cela pourrait passer pour un film « pro flic » il évite en partie cet écueil. En fait il y a deux films en un : d’un côté ces flics qui se battent pour faire ce qu’ils croient être juste ; et puis il y a cette machinerie politique dans laquelle ils se retrouvent tous un peu broyés. Et ce sont deux histoires complètement différentes. Avec peu de moyens les policiers se replient sur des méthodes peu orthodoxes à savoir payer un indic avec du cannabis confisqué dans la rue. Et nous voila avec trois hommes pris en étau entre les trafiquants et la nécessité de résultats à bas prix. Cela nous vaut quelques portraits tel le personnage interprété par Gille Lellouche, Greg. Le spectateur s’interroge est-ce un bon ou un mauvais flic ? Il a vingt ans de métier et ne comprend pas pourquoi il fait les choses. Il a cette phrase terrible : « Plus je fais ce métier, moins je le fais ». On comprend alors que les flics sont coupés des gens qu’ils sont censés protéger : certaines cités sont verrouillées, il y a des lieux qui sont des zones de non droit. Pour Greg, qui est un type assoiffé de justice, c’est insupportable. Donc au bout d’un moment, il perd toute forme d’idéal. Dans le quotidien de son métier, puis dans son rapport à sa hiérarchie. Quand tout à coup, on lui donne carte blanche pour effectuer une mission et qu’il s’en acquitte, il se sent revivre. Mais après l’avoir félicité et fermé les yeux sur ses méthodes, ses supérieurs vont le lâcher pour des raisons politiques. Greg est un idéaliste qui navigue dans un monde sans idéaux et, finalement, sans morale. On peut penser à ceux qui ont éborgné des gilets jaunes avec des tirs de LBD. Notre homme ne vit que pour son métier. Les méthodes de cowboy de ces policiers, et les libertés qu’ils prennent sont illustrées par des scènes d’intervention spectaculaires dans les quartiers. On peut toutefois regretter que soit presque occultée la misère de ces quartiers Nord de Marseille.

Aux GCR Narbonne et Carcassonne

Jean Segonne

Classé sous :Actualités Balisé avec :Bac Nord, chronique ciné, cinéma, jean segonne, Marseille, police

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