La Semaine du Minervois

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La Semaine du Minervois a besoin de soutien

4 mai 2022 By Redaction

Sans un soutien massif et rapide, la Semaine du Minervois va disparaître. Il nous faut rassembler 40 000 euros d'ici fin mai.

De nombreux médias de presse écrite ont connu un effondrement du nombre de leurs ventes ces dernières années. L'hebdomadaire la Semaine du Minervois est parvenu à limiter cette tendance, grâce à l'augmentation du nombre de ses abonnés. Cependant, malgré des salaires à minima, malgré notre engagement et celui de nos correspondants, malgré le soutien de nos annonceurs, notre équilibre financier s’est dégradé en 2021. Outre la baisse du nombre des ventes, la hausse du prix du papier et du transport, le coût de la distribution ainsi qu'une baisse des aides à la presse mettent le journal en péril.

Il sert à quoi ce journal ?

Créée en 1997, la Semaine du Minervois, journal d'intérêt général, source indépendante d'information pour ses lecteurs, appuie et valorise le développement économique, social et culturel du territoire. Le journal ouvre ses pages aux actualités des communes, à leur vie associative, culturelle, économique, politique et sociale. En juin, devrait sortir le numéro spécial été, édité à 10 000 exemplaires et distribué gratuitement sur tout le territoire et au-delà. Le lecteur pourra y trouver les balades à faire, les coins de baignades, les marchés, les merveilles de notre patrimoine architectural et naturel et l'agenda des manifestations estivales. Prochainement, une nouvelle version du site internet devrait voir le jour, avec possibilité de s'abonner à la version numérique du journal avec accès aux archives. Mais, surtout, la Semaine ouvre ses pages aux gens, aux Minervois : un commerce qui démarre, une association qui se crée, des artistes pour une expo, un concert, un spectacle, un bar qui programme une soirée, un collectif d'habitants qui se bat contre un projet, ou au contraire qui en fait la promotion, une famille endeuillée qui nous envoie la photo de l'être cher.

Que s'est-il passé ?

Il y a plusieurs années, le journal a contracté une dette auprès de son imprimeur qui s'élevait à 60 000 euros. Nous avons commencé à la rembourser il y a trois ans et elle s'élève désormais à 44 000 euros. Nous avons cesser de la creuser en payant régulièrement nos factures à échéance.Nous avons réduit au maximum la charge salariale : salaires au Smic, contrats à temps partiel (les heures complémentaires sont rattrapées quand c'est possible et c'est rarement le cas), les rédacteurs partis n'ont pas été remplacés. Aujourd'hui nous sommes quatre salariés (une secrétaire, une commerciale, un rédacteur web, une rédactrice), soit une charge de 4 000 euros/mois.

Alors que nous arrivions depuis trois ans à un bilan positif, le résultat 2021 est à nouveau négatif (-9248 euros), essentiellement dû à l'augmentation des frais d'impression (+35 %), de livraison (+24 %), de distribution (+25 %). Et ce, malgré l'augmentation de nos abonnés (+9,3 %).

Depuis quinze jours, notre imprimeur exige un versement de 1500 euros avant chaque impression, donc par semaine. Cette exigence nous met en difficulté quant au paiement de nos salaires, des rémunérations de nos correspondants (700 euros/mois), de nos prestataires (maquette 750 euros/mois, correction 350 euros/mois) et de toutes les factures courantes (Ursaaf/TVA et le reste, soit entre 2 000 et 4 000 euros/mois selon les mois). Nous n'avons pas assez de trésorerie.

Pour l'instant, nous faisons le choix de tout tenter pour sortir le journal de l'impasse, mais le dépôt de bilan reste une possibilité. Nous sommes contraints de réévaluer la situation semaine après semaine. Et nous nous démenons pour lever des fonds et trouver des soutiens.

Vous pouvez nous soutenir en participants à la cagnotte Leetchi mise en ligne (www.leetchi.com/c/les-cahiers-du-minervois) et/ou en vous abonnant. Pour défiscaliser votre don de 66 %, ne restez pas anonyme, indiquez vos nom, prénom et adresse mail, nous vous transmettrons un reçu fiscal.

D'avance, un grand merci !

À noter, la prochaine édition de notre journal sera un numéro spécial de soutien dans lequel vous pourrez retrouvez des témoignages de lecteurs et d'anciens membres de l'équipe, le jeudi 5 mai. Rendez-vous en kiosques !

L’équipe de la Semaine du Minervois

Classé sous :Actualités Balisé avec :cagnotte, campagne, leetchi, Semaine du Minervois, soutien, support

Rieux : sensibilisation à l’autisme, la commune se mobilise

16 février 2022 By Redaction

Fixée en 2007 par l'Assemblée générale des Nations unies, la Journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme a lieu chaque année le 2 avril. La municipalité mérinvilloise a décidé de soutenir cette cause le samedi 9 avril par une journée d’animations dans le cadre de ses “Printanières”.

À l’occasion de cette journée, chacun est invité à porter du bleu, en gage de soutien à la cause

En France, où l'autisme est reconnu comme un handicap depuis 1996, les troubles du spectre autistique (TSA) représentent entre 0,9 % et 1,2 % des naissances, soit environ 7 500 bébés chaque année. À l’origine de ce recensement, la Haute Autorité de santé estime qu’environ 100 000 jeunes de moins de 20 ans et près de 600 000 adultes sont autistes. L’autisme ou plus généralement les TSA sont dus à des anomalies neuro-développementales. Chez les personnes autistes, la croissance du cerveau et la manière dont s'organisent et se connectent les neurones (ou cellules nerveuses) n'est pas habituelle. Ce dysfonctionnement cérébral, qui perturbe le développement cognitif et/ou affectif, se caractérise par une communication et une interaction sociale anormales, avec des comportements restreints et répétitifs. Des symptômes généralement détectés par les parents dès les premières années de la vie des enfants. Ces troubles ont un profond impact sur le fonctionnement adaptatif, scolaire, social et familial des enfants ou des adultes atteints de cette pathologie, et génèrent des difficultés tout aussi importantes pour leur famille. Afin de les aider, tant dans le diagnostic et l’accompagnement médical que dans la prise en charge du patient, de nombreux guides sont téléchargeables sur le site de France Autisme.

L’association AVEA

Les bénéfices de la journée mérinvilloise seront reversés à AVEA (Autisme vivons ensemble dans l’Aude). Installée à Bram, cette association est partenaire d'Autisme France et de la FNATH (association nationale accompagnant les accidentés de la vie), deux associations reconnues d'utilité publique, et du GCSMS Autisme France (groupement gestionnaire médico-social). Également partie prenante de la nouvelle Union régionale des associations familiales (URAF) Occitanie, sa mission première consiste en la mise en place de prises en charge en adéquation avec les recommandations de la Haute Autorité de santé. Ses autres objectifs sont de donner toutes les chances de s'intégrer à la vie sociale à des enfants atteints d'autisme et autres troubles envahissants du développement (TED) ; de soutenir leur famille au quotidien en défendant leurs intérêts généraux, moraux et matériels quelles que soient leurs croyances ou leurs appartenances sociologiques, philosophiques ou politiques ; le tout dans l’objectif de permettre aux uns et aux autres d'avoir une vie digne et sereine.

Une journée ciblée et festive

  • De 7 heures à 8 heures, accueil des exposants, place de l’Église pour les pépiniéristes, et place Rambaud pour le marché de producteurs. À 10 heures, rendez-vous place Jeanne d’Arc d’où partiront deux randonnées pédestres (“historique” et “nature”). Participation : 1 euro par circuit.
  • De 11 heures à 11h30, à la médiathèque : sensibilisation tout public à l’autisme.
  • À 11h30, discours du maire et plantation de l’Arbre de l’Autisme. À midi, au boulodrome : omelette géante, sur inscription avant le 30 mars (2 euros la part).
  • À 14 heures, retour à la médiathèque pour une table ronde animée par Autisme AVEA.
  • À 15 heures, animation musicale.

Il est demandé aux exposants des marchés et aux participants aux randonnées et omelette de s’inscrire à la médiathèque (09.64.29.45.64) ou en mairie (04.68.78.10.15).

Danièle Storaï

Contacts :

  • AVEA, rue de la Liberté, 11150 Bram, 04.68.76.52.62.
  • Autisme France, siège : 04.93.46.01.77 – information sur l’autisme et les services adaptés, assistance juridique et une écoute personnalisée : 0800.71.40.40 (du lundi au vendredi de 9h à 13h, plus le mardi de 18h à 20h).

Classé sous :Actualités Balisé avec :autisme, AVEA, Bram, Printanières, rieux, sensibilisation, support

Ma petite entreprise ne connaît elle pas la crise ?

30 novembre 2021 By Redaction

Communiqué de Carcassonne Agglo:

Fermeture pure et simple ou ouverture restreinte, soumise à de draconiennes conditions de gestes barrières, jauges maximales ou pass obligatoires... La crise sanitaire (et sociale!) liée au COVID a plongé plus d’un dirigeant dans un climat d’incertitudes, pour ne pas dire dans de grandes difficultés. Les entreprises ont été impactées, à diverses échelles, sur leur activité, leur trésorerie… Les dispositifs de protection et de relance mis en place par le gouvernement et les collectivités ont, heureusement, permis de limiter les effets de la pandémie, de sauvegarder bon nombre de sociétés et d’emplois.

Malgré tout, certaines entreprises se retrouvent dans des situations fragiles et sensibles. De plus, de nouvelles difficultés ont pu apparaître, alors même que la relance semble enclenchée (approvisionnements, recrutements,…).

Carcassonne Agglo et ses partenaires (*) organisent un petit-déjeuner sur le thème de la prévention des difficultés des entreprises, le mardi 7 décembre, de 8h à 9h30, à alpha’[R] (20 rue Claude-Chappe à Carcassonne), pour informer et orienter au mieux les chefs d’entreprises, prévenir les défaillances et détecter les fragilités financières de manière anticipée.

Inscription obligatoire – places limitées : economie@carcassonne-agglo.fr

(*) Les partenaires de Carcassonne Agglo : le tribunal de commerce, la direction des finances publiques, la Banque de France, la chambre de commerce et d’industrie, la chambre de métiers et de l’artisanat, la direction de l’Économie, de l’emploi, du travail et des solidarités, l’Urssaf, l’ordre des experts-comptables.

Classé sous :Actualités Balisé avec :Carcassonne Agglo, entreprises, fermeture, petit-déjeuner, support

Santé mentale : des jeunes en souffrance

28 octobre 2021 By Redaction

Elsa Coudrain est psychologue et assure les permanences au Point accueil écoute jeune qui accueille les jeunes de 12 à 25 ans et dont le nombre de consultations a quasi doublé en 1 an.

Crédits photo : La Semaine du Minervois

Elsa Coudrain est psychologue clinicienne, diplômée de l’université Paul Valéry à Montpellier. Elle travaille au sein de la ligue de l’enseignement pour le PAEJ (Point accueil écoute jeune) et l’APS (Accompagnement psycho social des personnes au RSA), elle est également employée dans un Centre éducatif fermé sur Narbonne (alternative à la prison pour les mineurs).

Avez-vous noté une augmentation des consultations depuis le premier confinement ? Pouvez-vous chiffrer ?

Concernant le PAEJ (Point accueil écoute jeunes, accueil gratuit et anonyme des jeunes de 12 à 25ans) il est certain que le confinement a amené à une augmentation significative des consultations. Le PAEJ étant situé dans des zones rurales, l’isolement des jeunes était redoublé. Nous sommes passés de 114 suivis en 2020 à 212 suivis en 2021 toutes permanences confondues (Cessenon-sur-Orb, Murviels-les-Béziers, Roujan, Capestang, Saint-Pons-de-Thomières, Olonzac, Bédarieux, Le Bousquet d’Orb).

-Qui les oriente vers vous ?

Nous tentons de mener un vrai travail de partenariats et de réseau avec la région. Le plus souvent les orientations se font par le biais des infirmières scolaires (collèges et lycées) qui ont une vraie compétence de repérage et d’analyse de la souffrance des jeunes. Les CPE, directeurs d’écoles et les professeurs sont également des interlocuteurs et des orienteurs avec lesquels j’échange sur des situations compliquées. Les parents peuvent aussi spontanément demander de l’aide et un accompagnement pour leurs enfants. Sinon les partenariats avec les missions locales, Maison des Adolescents ou toutes autres structures qui travaillent dans l’accompagnement de la jeunesse peuvent nous en orienter.

-Globalement quelles sont les demandes qui reviennent le plus souvent ? Les raisons qui amènent les jeunes à consulter ?

Les demandes sont vraiment diverses et subjectives. Il peut s’agir de séparations conflictuelles du couple parental ou de conflits familiaux, de vécu d’angoisses (phobie scolaire ou difficulté dans la gestion de ses émotions), d’un mal être plus ou moins en lien avec une histoire de vie difficile ou des traumatismes, de troubles du comportement, etc... Le PAEJ accueille le jeune dans toute sa subjectivité et sa souffrance, accompagne et oriente ensuite en conséquence selon le diagnostic du professionnel sur des structures plus adaptées (CMP, action éducative etc...)

-De quoi souffrent ils ?

Concernant la problématique du confinement, il a été repéré par les psychologues du PAEJ un vrai mal-être quant à l’isolement, la difficulté de l’école en distanciel : la maison n’étant pas un lieu propice où se concentrer et travailler car beaucoup de tentations occupationnelles à côté les en empêchent, jeux vidéos notamment. Les problématiques familiales se sont également intensifiées dû à un étouffement et pas “d’ailleurs” pour souffler autant pour les parents que les jeunes. Les violences ont pu augmenter, ainsi que les problématiques addictives (cannabis ou alcool).

-D'après vous, d'où cela vient-il ?

Les surcharges et l’impact de l’angoisse du Covid ont créé de vrais aménagements dans les familles. Certains parents ont du faire l’école à la maison, d’autres ont du arrêter de travailler sans possibilité de pouvoir amener les jeunes en extérieur ou en loisirs pour décharger leur énergie. De plus, le port du masque au collège / lycée, l’interdiction de se toucher, les cours de récréation séparées etc, ont été au départ des situations très anxiogènes. Une jeune fille à qui j’ai demandé de dessiner l’endroit où elle se sent le mieux et celui où elle se sent le moins bien, m’a dessiné son collège entouré de barreaux : “c’est la prison maintenant on ne peut plus rien faire ni respirer, ni se toucher, ni rigoler, j’étouffe...”

-Comment prévenir ?

L’attention et la vigilance doit être apportée auprès de nos jeunes. Un retour à des conditions scolaires plus normalisées doit leur faire du bien malgré le fait que nous sommes aujourd’hui dans l’après coup de la crise. Certains élèves se sont vus complètement déconnectés du système scolaire pendant deux ans avec des années plus ou moins réussies qu’ils doivent tenter de rattraper aujourd’hui. Les enseignants repèrent des retards dans les apprentissages (langage notamment pour les plus petits). Être dans le dialogue et la communication, faire un retour sur les ressentis de nos jeunes pendant cette période est important.

-Comment y répondre ? Dans la famille ? Dans les établissements scolaires ? Quelles alternatives ou solutions ont pu être trouvées dans cette période ?

Les liens d’échanges et de préventions entre les partenaires et les familles sont une réponse qu’il faut maintenir et soutenir. Sur le secteur d’Olonzac par exemple, des ateliers collectifs ont pu être maintenus pendant le confinement pour les familles isolées et en difficultés avec leurs enfants, surtout pour les familles avec des enfants en bas âge. Ces ateliers étaient animés par la psychologue en place à ce moment-là et la responsable de la médiathèque d’Azillanet.

-Selon Santé publique France, les passages aux Urgences pour geste suicidaire sont passés de 9% en 2018 à 14% en 2021. Constatez-vous davantage de passages à l'acte ?

En effet, je pense que les souffrances psychiques se sont intensifiées autant pour les adultes que pour les jeunes durant cette période. Nous avons toujours reçu des jeunes dans la scarification ou qui ont fait des tentatives de suicides. Ces dernières peuvent être dues à une problématique adolescente (difficulté à poser des mots sur ses émotions, se confier, tornades émotionnelles que suscitent l’adolescence, etc...) mais l’isolement et les liens coupés avec les pairs du même âge ont été des facteurs importants sur les statistiques que vous pouvez rapporter.

Les moyens, financiers et humains, pour accompagner les jeunes vous semblent ils suffisants ?

Le PAEJ a une fonction d’accompagnement ponctuel, nous faisons relais sur des soins et des lieux dont les listes d’attentes sont plus longues... Les consultations en libéral ne sont pas accessibles pour tous où alors le remboursement s’opère grâce à la mutualisation du soin (mais pour une somme dérisoire pour le psychologue, nous entrons là nous dans un autre débat, les psychologues manifestent d'ailleurs pour leur droit et le refus d'une dévalorisation de la profession).

Point accueil écoute jeune, gratuit et confidentiel, accueil sur rendez-vous au 04.67.24.50.80.

Pour le secteur audois, contacter le 06.71.79.43.62. pour le Narbonnais et le 06.81.40.19.58. pour le Carcassonnais.

Propos recueillis par Lydie Rech

Classé sous :Actualités Balisé avec :confinement, détresse, distanciel, école, jeunesse, psychologie, santé mentale, support

Après le gel : permanences d’aide administrative… La suite

26 mai 2021 By Redaction

Élus et agents administratifs prêts à aider les agriculteurs dans leurs démarches d’après gel

Mardi 11 mai, la salle Jean-Jaurès de La Redorte a accueilli la première permanence mise en place par le Département et la chambre d’agriculture dans le cadre du dispositif d’aide d’urgence pour les viticulteurs, arboriculteurs et maraîchers, touchés par les épisodes de gel. Tout au long de la journée, les deux agents présents ont été littéralement submergés par un afflux de personnes, preuve de l’utilité de cette initiative. C’est ce qu’ont constaté Alain Giniès et Françoise Navarro-Estalle venus se rendre compte du bon déroulement de cette première. Ces permanences se poursuivront dans ce même lieu tous les mardis et jeudis, de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h30, jusqu’au 31 juillet. Au cours de ces entretiens, les deux agents aideront les demandeurs à remplir les dossiers nécessaires à l’obtention d’aides pour, en palliant la baisse significative de leurs revenus, subvenir aux besoins familiaux de base. Seul impératif en dehors des pièces justificatives requises*, prendre rendez-vous.

Pour contact : Anaïs Auzias au 07.86.12.82.50 ou anais.auzias@aude.fr 
*Pièces a apporter : état civil des membres du foyer ; copie de la carte d’identité du demandeur (en cours de validité), numéro d’inscription SIRET, justificatif des revenus du foyer, justificatif des charges courantes mensualisées (dernières factures), avis d’imposition et déclaration fiscale, extrait du rapport d’expertise estimant la perte de récolte et de chiffre d’affaires (ou à défaut, une attestation sur l’honneur) et RIB au nom du demandeur.

Texte et photo Danièle Storaï

Classé sous :Brèves Balisé avec :administration, dossiers, gel, permanence, support

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