La Semaine du Minervois

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La Région et le CRTL Occitanie se mobilisent pour la saison estivale

9 juin 2022 By Redaction

La Région et le CRTL Occitanie se mobilisent pour la saison estivale

À l’occasion d’une conférence de presse hier, Muriel Abadie, vice-présidente chargée du tourisme durable, des loisirs et du thermalisme, Claire Fita, vice-présidente chargée de la culture pour tous, du patrimoine et des langues régionales, Jean-Luc Gibelin, vice-président chargé des mobilités pour tous et des infrastructures de transport, Vincent Garel, président du Comité Régional du Tourisme et des Loisirs, et Christophe Fanichet, président directeur général de SNCF Voyageurs, ont présenté les nouvelles mesures déployées cette année pour favoriser le tourisme de proximité et soutenir le pouvoir d’achat des habitants d’Occitanie.

« Cet été, la Région et ses partenaires maintiennent le cap pour soutenir le pouvoir d’achat et le tourisme de proximité. La carte Occ’ygène ainsi que les offres estivales de trains et cars liO font leur retour, complétée cette année par une mesure unique en France pour les jeunes d’Occitanie de 18 à 26 ans qui pourront bénéficier des synergies du train régional et national, entre le programme « + = 0 » de la Région et la carte Avantage valable 1 an sur le réseau TGV et Intercités. Dans le cadre de notre Pacte pour l’embauche, la Région déploie également de nouvelles solutions pour faciliter l’accès à l’emploi des saisonniers. La dynamique générée par les nombreux festivals prévus dans la région soutenus par une vaste campagne de promotion nationale sera lancée dès le 21 juin à l’occasion de la fête de la musique.

Pouvoir d’achat, mobilités, festivals, emplois saisonniers sont les mots clés de la saison estivale en Occitanie. Voici en détails à quoi s'attendre :

  • Retour de la Carte Occ’Ygène qui offre des avantages et des réductions pour accéder à des loisirs ou réserver un hébergement. 

Déclinée en plusieurs formules adaptées à tous les publics, elle comprend toujours une version monétisée destinée aux familles les plus modestes.

  • Renouvellement des offres liO pour des vacances à proximité et en transports en commun, avec notamment 1 million de billets de train à 1 €. 

Cette année, un partenariat unique en France avec SNCF Voyageurs permettra aux jeunes âgés de 18 à 26 ans de bénéficier de la carte de réduction nationale, la carte Avantage Jeune valable 1 an et partout en France.

  • Accès à l’emploi des saisonniers dans le cadre du Pacte pour l’Embauche en Occitanie. 

De nouvelles mesures se mettent progressivement en place avec notamment le lancement dès cet été d’une expérimentation sur la question du logement, via la mise à disposition d’un ou deux internats de lycées pour accueillir des saisonniers.

  • Promotion et de valorisation des festivals régionaux. 

Pour accompagner le retour à la normale des festivals en Occitanie, la Région engagera à compter du 21 juin une grande campagne de promotion nationale et régionale destinée à mettre en lumière la richesse de la programmation régionale cet été .

  • Poursuite du plan d’actions du Comité Régional du Tourisme et des Loisirs visant à accompagner la transformation de la filière régionale.

Avec un fil conducteur cet été : l’Occitanie Rail Tour qui fera la part belle aux destinations accessibles en train (pages 20 et 21 du dossier de presse).

Classé sous :Actualités Balisé avec :CTRL Occitanie, emploi, été, liO, Occ’ygène, occitanie, région, transports en commun, vacances

Déchets énergétiques dans les coûts de transport

18 février 2022 By Redaction

Ces dernières années, la majorité des pays ont affirmé que chacun devrait réduire ses déchets issus de la production énergétique. Ici en France, on nous rappelle continuellement qu’il est vital pour nous d’inverser les effets du changement climatique que le monde s’est imposé par une combinaison de cupidité et de nationalisme. Cette rhétorique peut être merveilleusement amplifiée par les politiciens du gouvernement espérant obtenir un soutien lors de la prochaine élection présidentielle, mais tout espoir de réduction effective de la consommation d’énergie ne sera supporté que par nous tous à un niveau très local. Il est de peu d’utilité de prêcher à la population si les prédicateurs eux-mêmes ne font pas grand-chose pour mettre en œuvre une méthode efficace et pratique pour réduire la production de ces déchets. En nous sermonnant, ces soi-disant conseillers n’hésitent pas eux, à faire le tour du monde en jet privé ou en classe affaires pour assister à des rassemblements internationaux pour y discuter d’économie d’énergie (un exemple parfait étant la récente réunion COP tenue en Écosse). Lors de ces rassemblements de dirigeants plus de 100 pays étaient représentés à une époque où le Covid sévissait et nous, en tant que serviteurs plus humbles, on nous disait de travailler à la maison dès que possible. Pourquoi ces réunions n’auraient-elles pas pu se faire sur Zoom/Skype ou tout autre moyen de communication similaire ? On se dit que c’est très facile de dépenser de l’argent pour de tels voyages quand c’est nous qui payons! Récemment, nous avons été bombardés de publicité nous informant que le seul moyen sûr de progresser dans le domaine des transports est d’abandonner les voitures à gazole et à essence et de passer aux nouveaux véhicules électriques « merveilleusement » propres. Malgré les subventions gouvernementales offertes pour tenter de compenser les prix de ces nouveaux véhicules, avons-nous vraiment réfléchi à la question de savoir s’il s’agit vraiment d’une solution pratique à nos problèmes de transport ? Il est temps que nos politiciens régionaux et locaux décident que peut-être ce soi-disant progrès proposé pourrait aller dans la mauvaise direction et conduire simplement à encore plus de véhicules sur nos routes déjà très sollicitées. De plus, n’a-t-on pas pensé au fait qu’une population toujours plus vieillissante ne peut pas toujours conduire ? Certes, il faudrait envisager une augmentation des transports publics ; et ici on signale un service d’autobus considérablement accru et amélioré, surtout dans les grandes régions rurales comme on en trouve dans notre région.

Alors que les grandes villes peuvent avoir un service d’autobus efficace, pourquoi n’a-t-on pas pensé à un système similaire pour nos zones rurales ? Cela ne signifie pas une augmentation des services peu fréquents fournis avec des bus de 52 places qui ne circulent normalement qu’avec une poignée de passagers. Pourquoi ne pas essayer d’inciter les jeunes entrepreneurs, avec des aides financières si nécessaire, à assurer un service plus régulier avec des véhicules beaucoup plus petits ? À l’heure actuelle, sans nouveaux régimes d’essais, on peut conduire un véhicule de transport de personnes avec un simple et normal permis de conduire de classe B, et neuf personnes avec classe D si on a plus de 24 ans. Certes, des contrôles sur les conducteurs et une couverture d’assurance seraient nécessaires, mais il n’est certainement pas hors contexte que nos représentants élus puissent réfléchir à une méthode réduisant la nécessité pour nous tous de posséder notre propre et coûteux véhicule privé. Regardez également le gaspillage brut dans l’utilisation des nombreux mini-bus scolaires qui sont actuellement garés près des écoles pendant la majeure partie de la journée sans aucune utilisation. Ne serait-ce pas un bon moyen d’offrir un service utile aux habitants à des horaires adaptés aux parents et aux personnes âgées, et en même temps d’offrir un emploi aux chauffeurs et un éventuel complément de revenu aux collectivités locales ? Il demeure encore beaucoup de témoignages de personnes qui n’ont pas oublié les services de bus locaux et qui se souviennent avec émotion parfois des interactions sociales qui se créaient lors de ces voyages. Oui ; il faut admettre que nos modes de transport individuels actuels sont peut-être plus pratiques, mais arrêtons-nous un instant, même en ignorant le gaspillage d’énergie, et calculons combien nous coûte cette « commodité ». Devrions-nous vraiment dépenser plus de 1000/2000 euros par an si nous renoncions à nos voitures et recourions uniquement aux transports en commun? Les coûts initiaux des transports publics peuvent sembler élevés à première vue, mais si l’on prend en compte les coûts de nos propres véhicules, l’assurance de ceux-ci et les coûts de fonctionnement (carburant, pneus et réparations) nous pouvons arriver à une conclusion bien différente. Ne s’agirait-il pas là d’une méthode d’économie d’énergie et de contribution à la réduction du climatique digne d’intérêt ? Cela pourrait aussi nous éviter de devoir renoncer à manger un peu de viande et d’être obligés de devenir végétariens comme une autre des méthodes proposées pour réduire le changement climatique !

Alfred Wilmot

Classé sous :Chroniques d'Alfred Balisé avec :covid-19, pollution, transport, transports en commun, voiture

HAUSSE DE L’ESSENCE : LES RURAUX PERDANTS

3 octobre 2018 By Redaction

A quand des transports en commun en milieu rural ? Le gasoil augmente pour rejoindre le prix de l'essence. Le problème est, que si dans les villes les transports en commun se développent, en milieu rural c'est le désert. Les campagnes vont-elles être les grandes perdantes économiques de la lutte contre la pollution ? Il n'est pas question ici de remettre en cause un combat inévitable contre l'impact de l'homme sur le dérèglement climatique, mais de pointer le manque de solutions pour les habitants du Minervois. Pourquoi les habitants des territoires ruraux devraient-ils être les seuls à supporter les conséquences ? Ici, plus qu'en ville, la voiture est un outil indispensable du quotidien : dix kilomètres par ci, cinq par là… Impossible d'y échapper : s'alimenter, se soigner, travailler, faire des activités, généralement tout nécessite la voiture. Résultat, les ruraux sont les premiers concernés par ces augmentations. Quelles solutions collectives sont envisagées ? Pour l'égalité des territoires, c'est encore raté. Pour travailler ici, il faut commencer par payer son essence et il n'est pas rare de devoir faire de trente à soixante kilomètres quotidiennement. La situation ne doit pas être exceptionnelle au Minervois et touche certainement de nombreuses zones rurales. La mise en place de transports en commun semble plus que jamais indispensable.
Nicolas Faure

Classé sous :Edito Balisé avec :Hausse du gazoil, Nicolas Faure, ruralité, transports en commun

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